Elizabeth & John
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 des vies bouleversées

Aller en bas 
AuteurMessage
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:39

Stargate atlantis

DES VIES BOULEVERSEES


Il était prés de 12h00, le Dc Weir était dans son bureau sous une montagne de rapport. Le silence fut rompu par le gargouillement de son estomac, qui réclama un repas, elle bu une gorgée d'eau pour le faire taire.

J : Vous n'allez pas me dire que votre repas, va se résumer d'un verre d'eau ?
E : Bien sur que non Colonel, mais je voudrais finir se rapport avant.
J : La rumeur raconte que vous voulez venir demain sur PX578956 avec nous, puis je savoir pourquoi ?
E : Je dois essayer de faire signer un traiter de commerce et d'alliance avec le chef du village, à moins que vous ayez l'envie de le faire !
J : Non ! Je vous laisse le plaisir de le convaincre, il est plut coriace.
E : Vous devez bien vous entendre.

Elle adorait le taquinait, par moment il gagnait, mais elle réussissait toujours à avoir le dernier mot, en général. Elle se leva et se dirigea vers le mess, le colonel l'accompagna.

J : Je vous accompagne, je meure de faim !

Arrivée au mess, Rodnay, Teyla et Ronon étaient entrain de déjeuner et avaient une conversation des plus intéressante. Ronon écoutait à moitié, plus intéressé à mâter Teyla qu'à écouter se que Rodnay disait.

R : Ce jour est super, on fait la fête on boit beaucoup, on s'offre des cadeaux c'est surtout une fête pour les enfants mais celle qui vient après est plus pour les adultes, mais à minuit on s'embrasse pour se souhaiter la bonne année.
J : Alors Mckay, on veut passer le nouvel an ? Ironisa Sheppard.
R : Et pourquoi pas le faire cette année, si mon calendrier est exact c'est dans deux mois, Dc Weir vous êtes d'accord pour qu'on fasse une fête à noël et au jour de l'an.
E : Je trouve cette idée excellente, toute la citée en a bien besoin, cela va détendre tous le monde que je sens un peu un cran ces derniers temps. Teyla et Ronon j'espère vous voir avec nous, vous allez découvrir une de nos traditions.
T : Avec plaisir Dc Weir !
E : Je n'ai plus qu'à écrire notre liste de course pour les deux fêtes à venir.

Après cette idée de géni, selon Mckay, chacun parti à ses occupations, le Colonel s'entraîna avec Teyla et Ronon, Mc Kay bidouilla comme toujours sur une machine et le Dc Weir continua ses rapports ainsi que la liste pour les fêtes :
Sapins fausse neige champagne dindes
Boules décorations escargots pomme de terres
Guirlandes fois gras saumon bûche glacé
Tenue civil cadeaux pour enfants et adultes (bricole)

Elle rigola, en écrivant la dernière phrase, car elle pensa que ça ferait plaisir à tout le monde, surtout aux petits athosiens, car se seraient leur premier noël. Trois heures plus tard, elle donna les rapports et une enveloppe destinée au général ONeill.

C : Une lettre privée, adressé au général, demanderiez vous une autre faveur ?
E : Cela ne vous regarde pas Colonel Caldwen !
C : Trés bien ! Dédale ? ... Vous pouvez me télé porter à bord, et préparer le départ pour la terre.
D : A vos ordres !
C : Dc Weir

Pour se calmer les nerfs, elle passa sur son balcon et respira l'air frais, de l'océan. Cette vue était tel ment belle, mais surtout elle apaisait l'esprit, ainsi que les nerfs, ce qui fait qu'elle y était assez souvent soit à cause des scientifiques qui ne sont jamais content, soit ses altercations avec le Colonel Sheppard et Caldwen. Mais aussi, elle adorait cet endroit, pour la tranquillité qu'il procurait. Elle ferma les yeux et laissa son imagination vagabonder aux grés du vent, se laissant bercer par le doux son du vent, il ne manque vraiment plus que les bruits des mouettes ou des animaux marins existant sur terre. Qu'est ce qu'elle ne fera pas pour entendre les superbes chants d'orques ou de baleines, ou même plonger, ça lui manquait terriblement. C'est ainsi qu'elle se rappela de ses vacances aux caraïbes, où elle avait plongé dans l'océan à la découverte des fonds marins et avait de magnifique souvenir. Dommage que les eaux d'atlantis soient dangereuses car elle n'aurait pas hésité à demander du matériel de plonger.
Le colonel déambulait dans les couloirs et aperçu Elisabeth sur le balcon, il s'approcha doucement et la regarda, il pouvait passer toute une journée à la regarder sans fin, il le faisait déjà lors des débriefing, mais là sur ce balcon avec la lumière d'un soleil couchant elle était magnifique.

J : Alors on rêvasse ?!
E : Oui, un rêve inaccessible malheureusement, les plongées sous-marines me manque.
J : Vous plongez ?
E : Oui c'est un passe temps comme un autre !
J : Demandez du matériel au père noël ?
E : Pourquoi pas ! Et vous John que désiriez vous ?
J : Une planche de surf !
E : Evidemment ! Il se fait tard, et comme je viens de finir mes rapports, pour une fois de trés bonne heure, donc je vais en profiter pour me prendre une bonne nuit de sommeil.

J : Vous avez raison, vaut mieux en profiter, surtout lorsqu'on a une mission le lendemain. Bonne nuit Elisabeth.
E : Bonne nuit John !


Le lendemain matin, au débriefing tous le monde fut d'accord à part Rodnay, qui râlait parce qu'il n'y avait rien d'intéressant pour lui. Elisabeth accepta qu'il reste sur atlantis, mais en contre partie, il devra gérer tous les conflits des scientifiques pendant son absence. Rodnay en resta bouche bé mais accepta car cette planète n'était vraiment pas intéressante pour lui. Une heure plus tard l'équipe était prête pour passer la porte avec le Dc Weir,

J : Alors prête pour l'aventure ! Il faut dire que signer un traiter est un véritable défis avec se genre de personne !
E : Je suis tout a fait prête à relever le défis, c'est ce qui m'amuse !


Il passèrent la porte et se retrouvèrent dans une immense forêt, on pouvait voir les rayon du soleil éclairait quelques parcelles donnant une ambiance apaisante, moins apaisante que celle de l'océan pensa Elisabeth. Ils marchèrent pendant une heure et firent une pause, ne trouvant toujours pas le village, Elisabeth et Teyla s'assirent sur un rocher et parlèrent un peu de tout. A force de se côtoyer tous les jours, elles s'étaient rapprochées et étaient devenues amies, de trés bonnes amies. Ronon et John quand à eux s'installèrent un peu plus loin et faisaient semblant de regarder les alentours, mais ils s'attardèrent sur leurs amies. Puisqu'il s'agissait d'une mission de routine, ils n'étaient partis que tous les quatre.
Un bruit de feuille, les fit se retourner, trois hommes ressemblant à des gardes les encerclèrent. Les deux hommes ainsi que Teyla, les mains sur leur P90, aurait plus de chance de s'en sortir que les trois malheureux gardes.

E : Messieurs, veuillez baissez vos armes, on est ici pour signer un traiter, et non pour déclarer une guerre !
G : Ayoub vous attend, avancez !
J : Ola on se calme ! On vient en ami, vous vous souvenez ?!
G : AVANCEZ !!
E : Colonel, nous allons les suivre sans broncher, et nous verrons...
J : Trés bien !!!

Après une demi heure de marche, ils arrivèrent enfin devant l'entrée du village, la porte était d'une grandeur surnaturelle, les couleurs étaient resplendissantes, reflétant la lumière du soleil. Toute la ville était entourée d'un immense et impressionnant mur de béton. Lorsqu'ils passèrent la porte et entrèrent dans celle ville, il furent tous attrapé par des gardes et amené devant le chef Ayoub.

A : Tiens mais voilà nos militaires, c'est ça ! Il s'approcha d'Elisabeth, je ne vous connais pas jeune dame ?
E : Elisabeth Weir, chef d'atlantis !
A : Bien, Ayoub chef d'wakanda, ravi de vous rencontrer ?
J : Ayoub ? demanda John, peut on savoir pourquoi on est fait prisonnier ?
A : Parce que je l'ai décidé, et puis votre chef est là alors nous allons pouvoir faire le transfère !
Ro : Pardon !
A : GARDE EMENER LES DANS UNE CELLULE !!
G : A vos ordres !

John et Ronon voulurent se défendre, mais furent assommer et emmener dans les cellules, Teyla et Elisabeth furent mit dans la cellule d'à côté séparer des deux hommes. Ayoub regarda les deux femmes avec une lueur dans les yeux, qui ne présageait rien de bon, un médecin arriva dans la cellule. Deux gardes attrapèrent leurs bras pour qu'elles ne puissent pas bouger, le médecin s'approcha avec un plateau où se trouvent quatre seringues, il prit un échantillon de sang des deux femmes, puis des deux hommes, qui étaient encore inconscient.
Le soleil se coucha, car la lumière baissa rapidement dans les cellules, John et Ronon émergèrent avec un bon mal de crâne.

J : Mon dieu, personne n'aurait un tube d'aspirine, j'ai l'impression d'avoir trop bu !
Ro : Avec quoi nous ont ils frapper ? Demanda Ronon.
J : J'en sais rien mais ça en tout cas c'est costaux ! Elisabeth, Teyla vous allez bien ?
E&T : Oui ! Firent elles toutes les deux.

Une jeune femme arriva devant eux avec un plateau de fruits.

A : Bonjours je suis Aubane, je vous apporte à manger !
J : Pouvez vous nous aidez à sortir d'ici !
A : Je ne peux pas, je serai fusillée sur le champ !
E : On vous emmènera avec nous s'il le faut !


Aubane déposa les plateaux par l'ouverture faite pour et avant de partir elle se retourna.

A : Je vais essayer de le faire avant le transfert, je ne vous promet rien ! Et elle partit.

La nuit tomba rapidement, ainsi que la température, et comme les cellules se trouvent assez basses, ce sont elles où il fait le plus froid pendant la nuit. Ce fut qu'au petit matin que les gardes arrivèrent et emmenèrent les filles dans le laboratoire du médecin. Elles se débattirent mais on leurs injecta un sédatif trés puissant et elles tombèrent inconscientes au sol. Les gardes les déposèrent sur des sortes de lit et sortirent de la salle.

Dc : Aubane, veuillez préparer les échantillons de sang des deux jeunes femmes ainsi que celui du chef Ayoub, pour le transfert. !
A : Bien Monsieur !

Elle se rendit dans la pièce la plus stérile de la planète, elle regarda à sa gauche, à sa droite, puis derrière elle si il n 'y avait personne à l'horizon. Elle monta sur une échelle, prit des tubes à essai, et déposa le contenu dans un récipient, chacun avec un nom. Lorsqu'elle réapparut dans le laboratoire, le médecin réceptionna les récipients. Il prit celui de Teyla et celui du chef Ayoub et les déposa dans une machine, mit en route celle ci. On voyait les deux sangs se mélanger, une lumière enveloppa le liquide et quelques minutes après un foetus de deux semaines environ vu le jour et fut implanté dans l'utérus de Teyla. Elisabeth eut le même scénario, puis une fois le transfert effectué, les jeunes femmes furent remisent dans leur cellule, complètement inconsciente. John et Ronon s'étaient rapprochés des barreaux.

J : Qu'est ce que vous leurs avez fait !
Ro : Répondez nous !

Lorsque la nuit fut tombée, Aubane arriva en courrant dans les cellules, avec les clefs. Elle regarda les gardes qui étaient devant et leur proposa un verre d'eau. Les gardes se firent pas attention et burent l'eau contenant un somnifères puissant. Ils tombèrent d'un coup au sol..

A : Désolé si je n ai rien pu faire avant que le transfert n'est lieux !
J : Ce n’est pas grave, vous nous expliquerez ça sur atlantis !
A : Mais ...
J : N’y a pas de mais ! On se barre!

Ils prirent les deux femmes dans leur bras et aidé d'Aubane, ils arrivèrent à s'échapper et à rejoindre la porte, sans encombres. Arriver sur atlantis, ils demandèrent une équipe médicale et les suivirent à l'infirmerie. Le docteur Becket les ausculta, pour voir si tout aller bien, car elles étaient toujours inconscientes, à leur arriver. Après deux bonnes heures, Teyla fut la première à se réveiller, Carson s'approcha.

C : Comment allez vous Teyla ?
T : Bien, un peu fatigué mais ça va !
C : C'est normal, le sédatif qu'ils ont utilisé est trés puissant, donc l'effet de fatigue au réveil !
T : Le Dc Weir ...
C : Toujours inconsciente, mais elle va bien aussi, elle a du avoir une plus forte dose que vous ?!
T : Elle se débattait, elle a un gros potentiel pour le combat !
C : Il me reste vos analyses de sang et vous pourrez sortir !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:40

Carson s'approcha d'Elisabeth, elle avait du avoir une sacré dose pour qu'elle soit encore inconsciente, mais elle se réveilla quelques minutes plus tard dans le même état que Teyla. Le reste de l'équipe arriva pour prendre des nouvelles des deux jeunes femmes, celles ci étaient assises sur leur lit le teint livide avec des yeux écarquillés. Carson demanda à une infirmière d'aller vérifier les analyses de sangs pour être sur du résultat.

R : Qu'est ce qu'il se passe avec les analyses de sang ?
C : Juste une vérification, mais je crains qu'elles ne soient exactes, malheureusement !
J : Demandons à Aubane, elle est venue avec nous lorsqu'on s'est évadés !
E : Ramenez la, colonel, il faut avoir des explications !

Lorsque John réapparu avec Aubane, l'infirmière revenait avec les résultats des analyses, elle les tendit à Carson et celui ci la remercia.

C : Les résultats sont les mêmes, donc je vous confirme ce que je vous ai dit tout à l’heure !
E&T : QUOI !! Firent elles toutes les deux.
J : Alors qu'est ce que ça donne ?
C : Aubane veuillez le leur dire je crains que vous soyez la seule a pouvoir nous dire comment ça c'est produit.

Tout le monde la regarda, avec curiosité, ce qui la mit mal à l'aise.

A : Le docteur Weir et Teyla sont enceinte d'un foetus de deux semaines conçut par une machine, grâce aux échantillons de sang que l'on a prélevé.
R : Vous voulez dire que cette machine a fait un clone...
A : Non, chaque échantillon est mélangé à un autre provenant d'un mâle, formant ainsi un être à part entière. Je suis désolé, c'est ma faute, si j'avais eu plus de courage, je vous aurais libéré bien avant. Je n'ai pu seulement vous évitez d'avoir l'enfant du chef.
R : Mais elles sont enceinte, les analyses le prouvent !
A : J'ai voulu dire que l'enfant qu'elles portent n'est pas celui du chef comme il était prévu.
C : Alors vous avez prit n'importe quels échantillons !
A : Non pas n'importe lesquels, celui du Colonel Sheppard et de Ronon, par contre je ne sais pas lesquels ont été mélangés !
C : Ce sera facile de savoir, John, Ronon il va falloir que je vous prenne un peu de sang.

A : Avec cet appareil nous le saurons tout de suite, je n'ai qu'à approcher l'appareil du foetus et l'approcher ensuite du père, si la lumière s'allume c'est que c'est bon nous avons trouvé le bon.
E : Allez y alors !

Aubane, s'approcha d'Elisabeth puisqu'elle était la plus proche, posa l'appareil sur le ventre de la leader. La petite machine se mit en route en émettant des petits sons, puis elle s'approcha du Colonel, l'appareil émit des lumières et des sons stridents.

A : Colonel vous êtes le père de l'enfant, donc Ronon est celui de Teyla !
J : D'accord...euh ...je ...
C : Maintenant, veuillez me laisser avec les futures mamans et Aubane, elles ont besoin de repos.

Tous sortirent de l'infirmerie. John n'arrivait pas à le croire, il avait bien imaginer plusieurs fois ce genre de scénario, comment il aurait embrasser la seule femme qu'il n'avait jamais aimé et là il vient d'apprendre qu'il allait avoir un enfant avec elle, sans l'avoir embrassé, touché son corps parfait, sans avoir avoué ses sentiments. Il partit vers le hagard à jumper, ça lui faisait toujours du bien de voler avec ces engins.
Du côté de Ronon, il était complètement perdu, c'est vrai qu'il ressentait plus que de l'amitié pour cette femme, mais de là à avoir un enfant, il devait faire quelques choses qui pourrait aider Teyla, car elle aussi devait être perdu et encore plus car c'est elle qui porter l'enfant. Lorsqu'il vit le Colonel dans un jumper, il monta à bord.

Ro : Vous allez sur le continent ?
J : Oui !
Ro : J'aimerai faire quelque chose pour Teyla car cela doit être dur, pour elles, de savoir qu'elles portent un enfant alors qu'elles ne l'ont pas désiré.
J : Oui c'est ce que j'étais entrain de penser ! Et que voulez vous faire, si ce n’est pas indiscret ?
Ro : Je vais seulement lui confectionner un berceau, avec du bois trés souple.
J : C'est trés gentil de votre part ! Moi je voulais juste prendre une couverture de bébé et pour elle en même temps ! Ca ne vous fait pas bizarre de savoir que vous allez êtres père ?
Ro : Si mais encore plus de leur côté non !
J : Mouais !

Du côté de l'infirmerie, régner un silence entre les deux femmes, Elisabeth s'était enfoncée dans son lit, les mains posaient sur son ventre. Teyla fut a première à parler :

T : Dc Weir ?
E : Appelez moi Elisabeth, nous sommes amies maintenant !

T : Est ce que vous allez le garder, le Dc Beckett m'a expliqué qu'on pouvait l'enlever, si ... enfin je veux dire...
E : Je le garde !
T : Ah oui ?!
E : J'ai toujours rêver d'en avoir, mais je suis toujours en déplacement, alors j'ai abandonné, et puis le Colonel Sheppard n'a plus de famille sur terre d'après se qu'on m'a dit, alors je me suis dit qu'il aurait quelqu'un.
T : J'ai pensé la même chose pour Ronon, et je vais avouer que savoir qu'il est le père, me fait plaisir.
E : Je ne sais pas si c'est le cas pour vous, mais je commence à avoir vraiment faim ?
T : Si on allait au mess, le Dc Beckett ne nous en voudra pas !
J : Vous avez raison, allons y !

Elles s'habillèrent, et se dirigèrent vers le mess. A cette heure ci il n'y avait personne, donc elles furent tranquilles pour déguster un bon repas. Carson entra dans l'infirmerie, et laissa tomber ses rapports, lorsqu'il aperçut les lits vides. Il prit immédiatement son oreillette, et appela la salle de contrôle, personne ne les vit. C'est alors qu'il eut une idée où elles pourraient être, pour des femmes enceintes les envies de nourritures était plutôt fréquentes. Il se dirigea vers le mess et fut soulagé de les voir à une table.

C : Vous auriez pu me prévenir avant de partir !
E : Désoler Carson, mais on ne pouvait plus tenir ! Au fait on a décidé Teyla et moi, de les garder !
C : Oh trés bien ! Je suis heureux de l'entendre qu'en pensent les futurs papas. !
T : Euh ... on ne les a pas encore vu !

C : Je sais que ça doit être dur pour vous, mais ils sont partit sur le continent d'après le technicien !
T : Ah oui ?

Plusieurs heures plus tard, les deux hommes étaient revenus du continent, John cherchait Elisabeth et ne tarda pas à la trouver sur le balcon, une main sur son ventre, le regard perdu dans le lointain océan d'atlantis.
Il s'approcha d'elle et lui déposa cette fameuse couverture sur ses épaules, elle sursauta.

E : Colonel vous m'avez fait peur !
J : désoler, voici une couverture que les Athosiens confectionnent pour les bébés et les mères, je me suis, dit que ça vous serez trés utiles !
E : Merci John, je sais que ça va vous paraître bizarre mais j'ai décidé de le garder et j'aimerai .... Enfin si vous êtes d'accord.... euh
J : Que je fasse mon rôle de père ! Mais avec un énorme plaisir, avec Ronon on est allé chercher des présents pour vous ...
E : Merci colonel !

Elle se jeta dans ses bras, qu'il referma autour d'elle et restèrent ainsi appréciant chacun le contact de leur deux corps collés l'un a l'autre. Rodnay qui avait vu la scène, fit demi tour pour ne pas les déranger. Du côté de Ronon, ils étaient allés plus loin, lorsque Teyla avait vu le berceau elle s'était littéralement jetée dans ses bras et l'avait embrassé. Ronon fut surpris, mais cela ne lui déplaisait pas.

***

Cela faisait maintenant deux mois que la cité avait appris la nouvelle pour Teyla et Elisabeth, et l'avait plutôt bien pris, bon à part Kavanagh et Caldwen qui avaient piqués une crise, même un rapport qui était parvenu chez le Colonel Oneill, mais celui ci les félicita et leur apprirent par la même occasion que Carter était enceinte de quatre mois. Et qu’ils seraient présent avec SG1 pour leur fête de noël et celle du jour de l'an. C'est ainsi qu'à une semaine de noël, la cité avait était décorée de partout, car la liste qu'Elisabeth avait envoyé fut multipliée par dix, ils avaient eu assez de guirlandes pour en mettre dans les couloirs ainsi que ceux qui en voulait dans leur quartiers.
Elisabeth et John étaient ensemble depuis trois semaines, Ronon et Teyla depuis deux mois, leur ventre s'étaient arrondit, cela resté encore discret mais elles entamèrent leur troisième mois de grossesse dont ça s'arrondissait plutôt bien. Surtout celui d'Elisabeth, ce qui inquiété un peu Carson, c'est pour cela qu'il avait prit rendez vous avec les deux couples pour leur première écographie.

C : Alors par qui on commence ?
T : Puis je commencer Elisabeth ? Demanda Teyla
E : Avec plaisir ! Vous ne connaissait pas du tout ce genre de procéder, je comprends.
T : Merci !

Teyla s'installa et releva son haut pour laisser paraître son ventre, Carson mit la crème froide ce qui procura un frisson à Teyla. Il approcha la machine et commença l'écographie.

C : Alors voyons cela, à le voilà, ici nous avons la tête, ici c'est le coeur que vous voyez battre!
T : Cette machine est incroyable, peut on savoir si c'est une fille ou un garçon ?
C : Oui on peut mais il est encore trop tôt dans trois mois vous reviendrez et on saura avec plus de certitudes. En tout cas il se porte à merveille. Elisabeth à vous.
E : Oui j'arrive Carson !
C : Alors voyons ! Tiens c'est bizarre ça !
J : Qu'est ce qu'il y a ?
C : Rien de grave, vous voyiez là à cet endroit, il y a deux coeurs qui battent !
E : Vous voulez dire que j'ai des jumeaux ?!
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:41

C : Oui c'est pour cela que je trouvais votre ventre plus arrondit que celui de Teyla.
R : Des jumeaux !!! Oh non, déjà qu'un Sheppard en plus ça va me rendre dingue mais deux mini Sheppard, je ne tiendrais pas le coup! Râla pour la dixième fois Rodnay.
J : Ne vous inquiété pas Rodnay, il y aura toujours la psychologue pour vous détendre ! Répondit John.


Il restait beaucoup de choses à faire, à décorer le sapin, et bien évidemment les missions. Certaines furent dangereuses, mais la plupart furent tranquilles, trop calme selon John qui fut réprimandé par Elisabeth. Teyla était tombée malade à cause de ses nausées, et avait du rester dans ses quartier pendant deux jours. Elisabeth se portait à merveille, elle dévorait des montagnes de gelée rouge et resta raisonnable sur les heures passées à rédiger les rapports. Carson lui avait bien dit de faire attention, car une grossesse de jumeaux pouvait être difficile, et elle en avait tenu compte, pour le plus grand plaisir de John.
La porte des étoiles se mit en mouvement, Elisabeth apparut dans la salle de contrôle, bientôt rejoint par John et le reste de son équipe.

E : A-t-on une identification ?
S : Oui à l’instant c’est le SGC madame !
E : Baissez le bouclier !


Ils descendirent pour se présenter aux visiteurs.

X : Bonjour à tous, alors comment se porte notre citée ?
E : Très bien Général Oneill !
Ja : Je vous présente Teal’c, le colonel Mitchell, Daniel, Sam et Vala, enfin pour ceux qui ne se connaisse pas encore !
E : Voici Teyla Emmagan chef des Athosiens, Ronon, Rodnay, Carson et John Sheppard !
V : Enchanté, votre citée vaut des millions de vaisseaux !
D : Vala !!!
V : Quoi c’est juste une remarque !
Ja : Ne commencez pas tous les deux ! On est ici en tant qu’invité.
E : Ne vous inquiétez pas, on a les même ici ! Rigola Elisabeth
J : On n’est pas si agaçant que ça !
E : Tu t’es reconnu !
R Moi je ne trouve pas ! Je vous laisse j’ai des expériences en cours.
Ja : On l’a vexé, je crois !
J : Ne vous inquiétez pas, ça lui passera ! Je vous amène à vos quartiers ?
S : Volontiers, je meurs de fatigue !


Chacun rentrèrent dans leur quartier, Sam étant très fatiguée, s’endormit très vite. Teal’c et Mitchell avaient été mis ensemble, et avait accepté l’invitation à un combat de Ronon. Daniel et Vala avaient avoué être ensemble et par la même occasion qu’elle était enceinte de deux mois, vu la tête que Daniel avait tirée, elle venait de le lui dire. Ils se retrouvèrent tous pour manger le soir au mess, parlèrent de tout et de rien, même Rodnay fut le plus aimable.
Cela faisait maintenant trois jours que SG1 étaient sur atlantis, ils avaient été invité par les Athosiens à une petite fête avant celle de noël, Jack les trouvait sympathique, alors que Daniel les trouvait fascinant. Elisabeth était dans la salle de bain devant le miroir, regardant son ventre bien rond du aux jumeaux. Des bras puissants l’entourèrent et un baiser fut déposé dans son cou.

J : Alors on rêvasse ?
E : Je me demandais seulement si c’était des filles ou des garçons ou peut être les deux. Tu aimerais avoir quoi toi ?
J : Des bouts de choux en bonne santé !
E : Sérieusement John !
J : Les deux, une fille et un garçon ! Une fille pour qu’elle soit aussi jolie que toi et qu’elle est ton caractère, un garçon qui me ressemble pour embêter Rodnay !
E : T’es vraiment un gamin ! Je veux bien que la fille ait mon caractère mais elle devra avoir tes yeux.
J : Et pour les prénoms ?
E : Ca ne te dérange pas si on attend de savoir si se sont des filles ou des garçons !
J : Pas du tout ça me laisse plus de temps pour en chercher !

Elle se retourna pour lui faire face, fixant ses yeux.

E : Tu en avais déjà trouvé ?
J : Un ou deux oui !
E : Puis je savoir lesquels ?
J : Si c’est une fille j’avais pensé à Chelséa, et si c’était un garçon Tyméo.
E : J’aime beaucoup Chelséa.
J : Alors gardons le si l’un des deux et une fille.
E : Très bien !

Il continua à l’embrasser dans le cou descendant sur les épaules, allant de plus en plus bas. Sam et Jack étaient allongés sur le lit, enlacés et parlants d’un peu de tout.

J : Ca fait du bien de les voir tous heureux ! Surtout Elisabeth, elle est radieuse.
S : Oui tu as raison ! Qu’est ce qui fait chaud ici !
J : Tu vas bien Sam, tu devrais peut être dormir, en ce moment tu ne dors pas beaucoup !
S : Jack … je ne me sens pas bien du tout.
J : Tu as un peu de fièvre, je te porte et on va voir le Dc Beckett

Il arriva à l’infirmerie et déposa Sam sur un lit, il chercha Carlson.

J : Docteur, Sam ne se sent pas bien et elle se plaint d’avoir chaud !
C : D’accord, je vais la voir ! Alors voyons ça !

Après l’avoir ausculté, il lui donna un cachet et un verre d’eau, elle s’endormit rapidement. Carson se dirigea vers le général.

C : Ne vous inquiétez pas, les hormones ont un peu détraqué son métabolisme, mais il n’y a rien de grave, elle devra seulement prendre ce cachet pendant deux semaines et ça passera.
J : Merci Docteur.
C : De rien Général.

Noël arriva à grand pas, les tables et les repas étaient disposés dessus, les chaînes stéréo furent mises en route et diffusèrent des chants de Noël. Chacun se préparèrent dans leur quartier, une soirée de Noël sans être habillé d’une superbe tenue, ne serait pas correcte, au moins les grades seront effacés pour cette nuit. Depuis que Sam avalait le cachet, elle était en pleine forme, et son appétit était revenu, elle dormait mieux aussi. Daniel et Vala étaient sur le balcon, Teal’c, Cameron et Ronon s’entraînèrent avant d’aller se changer, sous l’œil attentif et amusé de Teyla. Cameron se faisait toujours mettre KO par Ronon, par contre Teal’c était un adversaire honorable. Elisabeth supervisait les derniers préparatifs de la soirée, pendant que John l’aida du mieux qu’il pouvait.
Lors de la soirée, tout le monde eu un petit cadeau de la part de la Terre. Sam eu un magnifique collier de jade, Vala eut deux billets pour Hawaï et se jeta sur Daniel pour le remercier. Teyla reçu une paire de bâton sculpter avec des ornements, Elisabeth quand à elle reçu deux magnifiques berceaux en bois, avec toute une série complète de literie, de couleur blanche. La soirée se passa bien, même celle du jour de l’an, mais le lendemain des fêtes, il n’y avait pas beaucoup de personnes très fraîches. Le Colonel Sheppard en faisait partit, il n’était vraiment pas en forme pour se lever tôt.

E : Bonjour l’ours des cavernes !
J : Bonjour belle ange !
E : Je sais que tu n’es pas du matin, mais là c’est à en mourir de rire !
J : J’aurais peut être pas du boire autant hier soir, quand est ce que Sg1 doit partir ?
E : Dans environ une heure !
J : QUOI !! John s’était relevé en quatrième vitesse, comme si quelque chose lui avait piqué le dos.

Trente minutes plus tard, tout le monde fut dans la salle d’embarquement, pour dire au revoir à l’équipe sg1, la guerre des Oris continuaient et avoir pris deux semaines de vacances, sans que rien ne se passe était une bénédiction. L’équipe passa la porte et la vie repris son cours normale.

Un mois après, les missions sur différentes planètes continuées et ce matin on attendait le retour du Major Azalf, qui était allé chercher de la nourriture. La porte s’activa.

E : Sergent, as t’on une identification ?
S : Non Madame !
E : Enclenchez le bouclier !
S : Je ne peux pas Madame, le bouclier ne fonctionne pas !
J : Qu’est ce qui se passe !
E : La porte a été activée, mais on ne peut pas baisser le bouclier.


A ce moment précis, un jumper fit son apparition dans la salle d’embarquement, percutant le mur de droite.

Mw : Tu n’es qu’un idiot Marwin ! Franchement je ne sais pas comment je peux être ton frère jumeau !
Mr : Eh ! Ce n’est pas de ma faute ! Chelséa ne devait pas être ici, de même pour Mathis, papa va nous étrangler lorsqu’il le saura.
G : Les garçons ?
Mw : Comme si c’était de la mienne, qui est ce qui a voulu conduire un jumper sans l’autorisation.
G : MARWIN, MAIWEN, fermez là ! Nous ne sommes plus à notre époque, regardez !

Le groupe d’ami se retourna et firent face aux atlantes. Ils descendirent du jumper et restèrent sans parler devant John et Elisabeth.

J : Bonjour !
E : N’ayez pas peur !
R : Comment avez-vous fait pour bloquer le bouclier ? C’est impossible de le faire avec un jumper …
E : Rodnay !!
R : Quoi ! Ils ont réussit à le bloquer, alors j’ai de quoi m’inquiéter !
Mr : Il n’a pas changé !

Pour cette remarque, il reçut un coup de coude de Gaia.

Mr : Aï ! Mais j’ai rien dit de méchant cette fois ci !
G : Non mais tu le penses tel ment fort !
Mr : Tu traînes trop avec Alwena et Donia ! (Il reçut deux autres coups derrière la tête) Eh, mais ça va oui, c’est bon j’ai compris je me tais.
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:42

E : Excusez moi, mais peut on savoir d’où vous venez avec un jumper ? Surtout que vous avez passé la porte, et Rodnay a raison, en bloquant le bouclier on a quelques soucis à se faire !
Mr : Ne vous inquiétez pas pour le bouclier, il marche bien, c’est Chelséa qui a appuyé sur le bouton de sécurité dans le jumper.
Ch : Mais je l’ai pas casser !
Mw : T’inquiète Chelséa, Marwin ne t’en veut pas.
Mr : Grâce à elle, on n’est plus dans notre époque mais on a évité de ressembler à des crêpes, alors non je lui en veut pas, mais va falloir qu’elle arrête de nous suivre, tu te souviens de se que papa à dit.
Mw Oui je m’en souviens, et pour l’histoire du vaisseau ruche, si on avait su qu’elle était dans le jumper on n’y serait pas allée.
Mr : Ouai si tu le dis !
A : Pardon, si ils ont un peu de mal à obéir aux ordres et aux questions posées !
E : Ce n’est pas grave, pour parler je crois que l’on sera mieux dans mon bureau !
A : Merci Elisabeth !

Une fois tous installés dans le bureau d’Elisabeth, chacun se présenta car il fallait bien commencé par quelque chose.

A : Moi je m’appelle Alwena, je suis la fille du Général Oneill et du Colonel Oneill, enfin à cette époque je suis encore dans son ventre.
D : Je m’appelle Donia, la fille de Daniel Jackson et de Vala.
Ch : Nous, nous sommes les sheppard ! Cria Chelséa.
Mr : Tais toi ! Je m’appelle Marwin, voici mon frère Maiwen et notre sœur Chelséa, et ça c’est le fils de oncle Rodnay Mathis.
J : Dans le futur, Rodnay aura un fils, woua, lui qui n’aime pas les enfants ! Répondit John.
Mw : Il ne parle pas, enfin il n’a jamais parlé, ce qui inquiète son père mais il n’y a que Chelséa qui arrive à savoir ce qu’il veut.
Ch : Maiwen, on peut aller jouer avec Mathis !
Mw : Oui, mais tu ne vas pas dans le hangar à jumper !
Mr : Ni dans les laboratoires, ni dans les coins inexplorés …
Mw : Marwin c’est bon, elle n’est pas idiote ! Vas y !

Elle s’en alla avec Mathis, laissant les grands et les adultes ensembles.

D : T’es trop protecteur envers elle, laisse la faire un peu !
Mr : Bien sur ce n’est pas toi après qui risque de te faire enguirlander par ton père ! Déjà rien que le fait qu’on soit ici, on va avoir le droit à un serment.

A : Le mien va m’étriper, et m’envoyer dans une école privée, alors ne vous plaignez pas !
E : Excusez moi mais une personne n’a pas eut le temps de se présenter !

Ils se retournèrent vers la jeune enfant, qui était resté calme tout au long de la réunion, regardant vers la porte avec un air inquiet.

Mw : Gaia est ce que ça va ?

Elle ferma les yeux et jeta sa tête en arrière, tomba au sol, Maiwen se précipita vers elle. Elle se releva avec l’aide de son ami.


G : Je crois qu’on va à avoir des problèmes, je ne l’avais pas sentit tout de suite, mais un raptors est passé en même temps que nous !
Mr : Chelséa !!

Marwin se précipita dans la cité, à la recherche de sa sœur, John appela quelques soldats et le rattrapèrent rapidement. Pendant cette recherche, Gaia expliqua ce qu’était cette créature. Il s’agissait d’un dinosaure, mais faisait partie de la race des wairths, l’insecte qui avait piqué le Colonel, s’était attaqué à toutes sortes d’animaux ou être vivant depuis qu’elles existaient et cela avait engendré certaines créatures comme le raptors. Le seul pouvoir qu’avait hérité celle-ci était de projeter des hallucinations.

G : Il faut absolument l’endormir, sinon elle risque de faire des ravages, si elle se sent menacé elle tuera !
R : L’endormir mais avec quoi ?
Mw : Alwena crois tu être capables de refaire le sédatif avec l’aide d’oncle Rodnay !
A : Oui, peut être il faut seulement que je me rappelle, mais cela ne doit pas posé de problème, enfin si ton oncle est prêt à se montrer patient !
Mw : T’inquiète il le sera !
D : Et nous qu’est ce qu’on fait ?
Mw : On essai de réparer le jumper pour repartir avec la créature !
G : Rien que ça ! Tu n’es pas mieux que ton frère.

L’équipe de soldats était toujours à la recherche des deux petits qui restaient introuvable, Marwin commença à s’impatienter.

Mr : Bon s’en où a-t-elle encore bien pu passer !
J : Excuse moi mais on ne sait toujours pas qui est Gaia !
Mr : Oh, c’est la fille de tante Teyla et oncle Ronon ! Je vais l’attacher dans sa chambre !
J : Tu n’as pas l’air heureux d’avoir une petite sœur ?
Mr : Si je l’adore, mais elle nous suit partout et comme on a le chic pour se mettre dans des situations dangereuses, on tient ça de toi d’après maman ce qu’elle te reproche d’ailleurs ! Elle est trop jeune pour nous suivre !
J : Vous avez l’air de bien vous entendre tous !
Mr rigolant : Oui on est très soudé, à chaque vacances Donia et Alwena viennent sur atlantis avec leur parent. Maman trouve que les ennuis apparaissent lorsqu’on est tous ensembles, mais elle a pas tord non plus !
J : Rodnay a vraiment un fils dans le futur.
Mr : Oui, tu faisais la même tête que maintenant, lorsqu’il nous l’a appris il y a six ans.
J : Chelséa et lui on le même âge, et vous cinq avec le même alors ?
Mr : Oui nous avons tous 12 ans, avec quelques jours de décalage entre Gaia et Donia, seul Alwena à deux mois de plus.

Au carrefour d’un couloir, les deux enfants apparurent, et se jetèrent dans les bras de Marwin.

Ch : Grand frère !
Mr : On te cherche depuis une heure, où étiez vous passé !
Ch : Il m’a criait dessus !
Mr : Qui t’as crié dessus ?
Ch montrant du doigt : Lui !

Kavanagh arriva en colère, rouge de colère était le plus approprié.

K : Qu’est ce que ces enfants font ici, ils ont bloqués la porte d’une salle où je devais travailler !!
J : Kavanagh, ce sont des enfants, ils ne savent pas se qu’ils font !
K : Je vais en parler au Dc Weir !
Mr : De tout façon, elle ne vous écoutera pas. Je vous interdis de crier sur ma petite sœur, espèce de limaces visqueuses !
K : Mais vous …
Mr : Oh la ferme, je peux vous parler sur le ton que je veux, vous insulter si je veux, et je peux aussi vous pourrir la vie, car je viens d’un autre monde !
J : Kavanagh reprenez votre travail !
K froidement : Bien colonel !

J : Dis moi, dans le futur, il sera toujours comme ça ?
Mr : Oui, mais on a réussi à le faire partir, enfin il en a eut tel ment marre de nos bêtises continuelles qu’il est repartit sur terre.
J : Oh, vous vous étiez mis contre lui !
Mr : Non pas spécialement, Rodnay a eut pire !
J : Bon, retournons dans la salle de contrôle, tout le monde doit s’impatienter.


Ils repartirent, dans l’autre sens pour rejoindre la porte, c’est à se moment là qu’ils entendirent un son de colombe mais très graves. John pointa son fusil et scruta le couloir. Le son se rapprocha, donc la créature ne devait pas être loin, ils se dépêchèrent d’atteindre la salle avant de se faire tuer.

J : Elisabeth, avec le scanner peut on voir où se trouve la créature puisqu’elle est à moitié wairths ?
E : Peut être ! Sergent !

Sur l’écran une forme assez grande se déplaçait très vite dans les couloirs, pour le moment personne ne la croiser, mais il y avait une pièce ou se trouver de point blanc.

J : Qui que vous soyez, répondez !
X : Ici Komi et Matsuyama, scientifiques japonais.
J : Veuillez vous enfermer dans cette pièce jusqu’à ce que l’on vienne vous chercher.
X : Oui à vos ordres.

J : Bon vous avez trouvé le moyen d’arrêter cette bête !
R : On y travaille John, mais ce n’est pas facile, Alwena m’aide beaucoup mais c’est qu’une enfant !
Ch : Vous n’allez pas lui faire du mal, hein !
A : Non on va seulement l’endormir !
Ch : Miyou est gentil, on a joué toute la journée avec Mathis et Miyou.
Mr&Mw : Quoi !!
J : Tu veux dire que cette bête était avec vous pendant tous ce temps !
Ch : Oui, elle vit sur notre cité depuis longtemps !
G : Tu veux dire qu’elle a le pouvoir de se rendre invisible ?

Le scanner détecta un dar en approche d’atlantis.

E : Qu’est ce que c’est encore !
J : Un dar c’est introduit dans la cité, vous deux vous ne quittez pas la salle, de même pour les enfants !
Mr : Mais …
J : Non ! J’ai dit vous restez là !
Mw : On sait …
J : J’ai dit non !
D : Laissez tomber les grumeaux, vous n’arriverez pas à le faire changer d’avis !
Mr&Mw : Ok !

John partit avec Ronon et plusieurs groupes de soldats, pour intercepter les intrus, avant qu’ils aient fait le moindre dégât. Dans la salle, la créature apparut sous leurs yeux, Chelséa courut vers elle.

Mw : Chelséa !!

Chelséa lui caressa le bout du museau, elle était magnifique, un vrai vélociraptors était dans la cité, lorsque le reste du groupe arriva en bas et voulurent s’approcher de la petite, le raptors claqua des mâchoires et émit un son strident à vous crever les tympans.

R : Vous, n’approchez pas ! Il protège Chelséa ! Elisabeth qu’est ce que vous faites ?

Elisabeth s’approcha du raptors, celui-ci la renifla et la laissa approcher, les grumeaux furent de même et embrassèrent leur sœur.

G : Il reconnaît la famille Sheppard, il ne laissera approcher que ceux de cette famille, c’est incroyable !
E : Teyla, pouvez vous emmener les autres dans vos quartiers, j’emmène les miens et le raptors avec nous ! Rodnay garde Alwena et Mathis avec vous et finissez le sédatif pour les wairths !
R : Très bien !



Elisabeth se dirigea donc vers ses quartiers, lorsque le raptors passa devant et poussa un terrible rugissement. Un wairths apparut devant les Sheppard, armé et prêt à tirer, John étant sur sa piste ne fut pas loin et tira sur celui-ci. Le raptors se jeta sur le wairths et lui arracha la tête, il le dévora pour être sur qu’il soit mort.


E : C’est écoeurant !
J : Faut bien qu’il se nourrisse aussi !
Ch : Cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas nourri !
J : Il en reste plus qu’un maintenant ! Enfermez vous et ne sortez pas de là compris !
Mr, Mw& Ch : Oui !!!

Le raptors s’approcha de John et le poussa de sa tête, il fixa ses yeux jaunes dans ceux de John.

J : Ok tu viens avec moi !

Et ils partirent à la chasse au wairths. Le wairths arpentait les couloirs de la cité, à la recherche des générateurs. Il ne pensait pas qu’une créature pouvait le sentir à des kilomètre à la ronde et qu’elle était sur ces traces, avec l’équipe de John armés jusqu’au dent. Le raptors avançait dans les couloirs reniflant chaque parcelle, écoutant le moindre bruit, prêt à attaquer. D’un coup il se rua dans le couloir de droite et un combat entre le raptors et le wairths démarra. Celui-ci était un peu plus fort que le premier, mais il fut vaincu très vite, les dents acérées et les mâchoires puissantes de la créature furent les meilleures armes. Une fois le massacre terminé, ils rejoignirent chacun leur femme, le raptors suivait toujours Sheppard, qui était plutôt ravi de l’avoir car il n’avait pas eu le moindre effort à faire.
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:42

Ro : Ca vous amuse d’avoir un garde du corps ?!
J : Ben ça change, pour une fois on s’en sort sans bobos !
Ro : J’aurai aimé me battre moi !
J : Oui ça je m’en doute.
Ro : Mais c’est vrai que son aide est plutôt pas mal !
J : Ah vous voyez ! Bon je vais voir Elisabeth, dans nos quartiers, elle doit être inquiète !
Ro : Je vais rejoindre Teyla
J : A plus tard !

Lorsque John apparut à la porte des quartiers, Chelséa sauta dans ses bras.

Ch : Papa ! Tu l’as eu ?
J un peu surpris : Oui, enfin c’est plutôt le raptors qui l’a eut. !
Ch : C’est Miyou, son nom c’est Miyou !
J : Oh alors Miyou lui a mis sa racle.
E : John !
J : Quoi ?
Mw : Ne t’inquiètes pas maman, dans le futur il a pas changé !
Mr : Ouai toujours aussi gamin !
E : Ca ne me rassure pas du tout !

John s’avança vers le placard et en sortit plusieurs coussins et couvertures, les disposa parterre pour faire trois petits lits douillets. Les garçons s’installèrent dessus et commencèrent une bataille d’oreillers.

E : Les garçons, il est temps d’aller de se coucher maintenant !
Mr : Ca, ça n’a pas changé !
J : On discute pas, elle a raison il se fait tard !
Mw : T’es toujours partant, lorsqu’il faut en faire le moins possible et surtout pour dormir !
Mr : Ou a surfer !
E : Bon finis de parler, demain, il reste plein de chose à faire, comme réparer le jumper !
J : Ouais, alors on va tous se coucher, ça nous fera du bien !
Ch : Je veux dormir avec papa et maman !
Mr : Chelséa ne les embête pas, tu viens te coucher dans ton lit !
J : Non laisse là (il a prend dans ses bras) Allez viens !

John et Elisabeth s’installèrent dans leur lit et Chelséa se coucha au milieu blottit contre ses parents.

Ch : Papa raconte nous une histoire !
J : En as-tu une que tu aimes bien ?
Ch : Oui ! L’histoire des ours en peluche qui aide une petite fille et son frère !
Mw : C’est celle des Ewoks !
J : Oh d’accord, alors je commence !

Cela faisait une heure qu’il racontait les aventures des Ewoks lorsqu’ Elisabeth lui demanda de se taire.

E : John, ils se sont endormis !
J : Dois je le prendre pour un compliment ?!
E souriant : Je crois que oui !
J : Elle te ressemble beaucoup, elle est aussi jolie que toi lorsque tu dors !
E rougissante : Merci ! Bonne nuit
Il embrasse J : Bonne nuit.

Du côté de Teyla, c’était très calme, Ronon avait eu la même idée que John en fabriquant un deuxième lit, se trouvant au pied de celui-ci. Teyla avait sortit un grand T-shirt pour Gaia. Ronon était assis sur le lit et les regarda. Gaia chercha quelque chose dans son sac et en sortit une petite flûte, elle a tendit à Ronon.

G : Je sais que sa doit te faire bizarre, car je ne suis pas encore née, mais est ce que tu pourrais jouer de la flûte ?

Ronon fut surpris, et ne savait pas comment réagir, Teyla le regarda amusé de voir Ronon, intimidé par une petite fille.


G : Tu me joues chaque soir un air de Sateda, pendant que maman me coiffe les cheveux. Cela m’aide à dormir.
Ro : Bien sûr.
G fait une bise à son père : Merci papa !

Ronon commença à jouer, Gaia s’installa sur le lit et l’écouta, pendant que Teyla lui démêla les cheveux.

G : Joue en une autre s’il te plaît !
Ro : tu devrais dormir, il se fait tard.
T : Ronon a raison, tout le monde dort déjà.
G : Je peux dormir avec vous, je n’ai pas envie de faire des cauchemars.
T : Tu fais des cauchemars ?
G : oui, tu m’as expliqué que je tenais ça de nos ancêtres ! C’est pour ça que papa me joue de la flûte depuis que je suis bébé, d’après maman cela m’apaisait et j’arrêtais de pleurer !

Et ils s’endormirent tous les trois, la cité toute entière dormait, à part les soldats qui étaient de garde cette nuit. Le silence de la nuit envahi les couloirs, seul le bruit du vent par les fenêtres restaient ouvertes parvenait aux oreilles. La nuit fut très courte pour certains, mais pour d’autre elle s’éterniser en grâce matinée. Le matin pointait le bout de son nez, plusieurs personnes étaient déjà debout et travaillaient à leurs tâches quotidiennes.

E : Ils dorment encore ! Ils tiennent beaucoup de toi !
J : Mais Chelséa tient énormément de toi, que de moi, même Marwin me la dit, elle est aussi buter que toi !
E : Ils ont l’air si paisible, alors que les wairths ne sont même pas détruis !
J : Cela veut dire qu’on a très bien fait notre rôle de parents, et que nos enfants ont une vie heureuse !
E : cela me rassure, en quelque sorte ! Je veux dire que d’être mère et être la leader n’est pas chose facile à harmoniser !
J : Tu t’en sortiras très bien, et puis je suis là et on a de merveilleux amis !

La petite Chelséa, commença à bouger, se blottissant un peu plus contre son père. John remonta la couverture sur les épaules de sa fille, celle-ci se réveilla avec un énorme bâillement.



E : Bonjour ma puce, bien dormit ?
Venant à peine de se réveiller, elle ne parla pas, mais embrassa ses parents en signe de bonjour. John regarda en direction des jumeaux, qui dormaient encore à point fermés, il sourit à cette vue.

E : Qu’est ce qui te fait sourire ?
J : Nos fils, j’ai l’impression de me voir !
Ch : Maman j’ai faim.
E : Oui on va aller manger ! John tu viens avec nous ou tu restes là à dormir.
J : Non je vais venir avec vous, on va les laisser dormir !

John, porta Chelséa à moitié endormis, jusqu’au mess, suivi d’Elisabeth, lorsqu’ils arrivèrent au mess, Rodnay était déjà assis à une table avec Mathis et Alwena et Donia. Ils le rejoignirent pour partager le petit déjeuner, Teyla, Gaia et Ronon ne furent pas long à les rejoindre.

R : Non Mathis, le café n’est pas encore pour toi, tu es trop jeune !
J : Alors Rodnay, comment trouvez vous la vie de papa ?
R : Très bien, si l’on a un fils comme Mathis ! Il est sage, obéissant et ne fait pas de bruit, le fils idéal !
J : Enfin ! Notre Rodnay adore les enfants, première nouvelle !
E : John arrête !!
Ro : Vos fils dorment toujours Sheppard !
J : Oui, ils sont comme moi, ils ne sont pas du matin !
T : On dirait que la petite tient de vous Elisabeth !
E souriante : Oui on dirait !
Ch : Papa, je peux avoir encore du chocolat !
J : Ok je vais te le chercher ! Veux tu encore des tartines ?
Ch : Oui !! Pour Mathis aussi s’il te plaît !
J : D’accord !
Ro : votre fils tient de vous, Rodnay, pour ce qui est de la nourriture !
R : Les Mckay ont un énorme besoin d’énergie, donc on mange beaucoup !

Marwin et Maiwen venaient d’entrée dans le mess, les cheveux en pétard et les yeux à moitié ouverts. Ils firent un signe de la main, en guise de salutation, s’installèrent en bout de tables et commencèrent à boire un jus d’orange.

E : Vous n’avalez que ça ?!
Mw : Ben on a du mal à manger le matin !
Mr : On prend seulement un jus d’orange, une tartine et on pète le feu !
J : Ca, ils le tiennent de toi, moi faut que je mange !
D : C’est pour ça que Chelséa mange autant le matin, elle tient de vous !

Ils passèrent la plus grande partit de la matinée à parler, des pires bêtises que les enfants avaient pu faire depuis qu’ils étaient nés. Comment ils avaient réussit à faire partir Kavanagh et surtout les différents conflits entre les jumeaux et le Colonel Caldwen. Ils apprirent beaucoup aussi sur la terre, qu’ils avaient plusieurs vaisseaux de différentes tailles, mais surtout qu’ils avaient plusieurs alliés.

R : Ce n’est pas que je trouve ses discutions ennuyeuses mais il faut qu’on arrive à réparer votre jumper, pour repartir !
A : Le problème Rodnay, c’est que je suis allée le voir cette nuit et il est irréparable, la seule chose qu’on peut faire c’est envoyer un message à nos parents pour leur dire à qu’elle époque ! Mais cela ne durera que deux minutes.
D : Comme sa mère ! Tu ne peux pas t’empêcher d’aller voir ! Je comprends pourquoi oncle Jack veut t’envoyer dans une école privée, bon aussi pour t’éloigner de ce cher Victor !
A : Donia là ferme !
E : Bon ça suffit ! Vous allez envoyer se message à vos parents et on verra se qu’il se passe.

Plusieurs plus tard, ils se retrouvèrent tous dans le hangar à jumper, où celui des enfants avait été emmené pour réparation.

A : Faite que ça marche !
D : Ca vas marcher t’es la meilleure ! N’oublie pas que tu as réussi à faire exploser le bureau de Mr Koing !
A : C’était un accident, je me suis fais remonter les bretelles par mes deux parents, je te signale !
D : Oui je m’en souviens ! D’ailleurs ton père m’a vraiment fait peur ce jour là !
G : Ils réussiront à venir nous chercher avec la porte ?
A : Si Rodnay arrive à déchiffrer se que j’ai marqué, oui !
Mr : Il réussira t’inquiète pas !

Alwena appuya sur la commande de la porte, dans le jumper. La porte se mit en route et elle envoya le fameux message. Ils attendaient tous une réponse, enfin si cela pouvait se faire, mais au bout deux heures, ils perdirent espoir. Au moment où ils passèrent le seuil du bureau d’Elisabeth, la porte des étoiles se mit en route et laissa passer une cassette vidéo. Un soldat la rapporta au Colonel Sheppard et repartit à ses occupations.

Mr : vous êtes sur de vouloir la visionnée, moi pas, si c’est pour entendre papa nous crier dessus, c’est pas la peine !
A : Parce que tu crois que ma mère, ou mon père ne seront pas là à me sermonner !
G : En fait je crois que tout le monde auras le droit à se faire remonter les bretelles, même moi !
Mw : Ta mère, va t’enfermer à vie dans ta chambre !
G : Peut être pas à vie mais jusqu’à ma majorité ça c’est sur !
J : bon on se la regarde cette vidéo ?

Lorsque l’image apparut, on pouvait voir Rodnay avec quelques années en plus, et un paquet de feuilles à la main.

R² : Salut les jeunes, j’espère que vous faites attention à Mathis, je sais qu’il ne risque rien avec vous, mais le savoir dans le passé me fait peur. Alwena, merci pour ton aide je vais pouvoir garder la porte assez longtemps pour que vous puissiez revenir ici, bon ben je vais vous laissez avec vos parents et me concentrer sur le problème. Bon courage !
Mr : Merci oncle Rodnay ! Aï ça va être notre fête.
J² : Les jumeaux, j’espère que vous profitez bien de vos petites vacances, car lorsque vous reviendrez, il faudra affronter votre mère, j’ai réussi à la calmer, mais je vous jure que s’il arrive quoi que se soit à votre sœur, c’est moi que vous allez affronter. Par contre en rentrant vous serez punis et donc vous aiderez votre oncle pendant un mois. Et ce n’est pas discutable.
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:44

Mw : Alors là c’est injuste, un mois avec oncle Rodnay, mais on va mourir !
Mr : Ben moi c’est pas ça qui me fait peur, c’est maman que je crains, elle va nous tuer !
Jc² : Alwena j’espère que tu auras une excellente explication à me donner sur le fait que tu t’es fourré encore dans un pétrin monstrueux, on verra à la maison !
A : Je suis bonne pour l’école privée !
V² : Salut ma puce, j’espère que tu t’amuses bien !
Dl² : Vala !!! Je préfère en parler avec toi à la maison !
D : Super, mon père va me passer un savon pendant que ma mère va essayer de le calmer.
J : Je ne pensais pas être aussi sévère !
Mw : Ben en fait, on a tel ment fait de bêtises, on a même frôler la mort un jour, et depuis tu es devenu plus stricte, pas sévère mais tu ne nous laisse plus autant de liberté qu’avant !
Mr : On ne t’en veut pas pour ça, c’est de notre faute donc on s’y est habitué.
E : Vous avez l’air de me craindre, je me trompe ?!
Mr : Comme tu es enceinte, tes colères sont redoutables, mais c’est parce que tu as peur pour Chelséa, elle nous suit partout !
Ch : C’est marrant d’être avec vous on s’amuse bien !
G : J’ai eu de la chance, mes parents n’ont pas laissé de message, mais une fois à la maison je vais avoir le droit à un savon !
A : En tout cas, on doit aller préparer nos affaires, Rodnay n’en a pas pour longtemps, surtout que ma mère doit être là !

Chacun prirent leur affaire et rejoignirent la porte ; ils n’attendirent pas longtemps, la porte des étoiles s’ouvrit, laissant apparaître John, Ronon et le Général Oneill. Ils avaient tous quelques années en plus et on voyait sur leur visage que la guerre qu’ils menaient, était dure et impitoyable.

Ch sautant dans ses bras : Papa !!!
J² l’embrassant : Oh ma chérie, ça va ? Tes frères se sont bien occupés de toi ?
Ch : Oui très bien !
Ro² : Gaia ! Ta mère est en pétard !
G : Ca je veux bien le croire !
Ro² : Tu me ressembles beaucoup trop, peut être que ton frère sera plus comme ta mère !
G : Espérons le !
Jc² le doigt pointé vers sa fille : Toi tu es mal !
A se cachant derrière Rodnay: Désoler papa, mais on a pas choisit d’y aller, le jumper à décoller tout seul, la porte à peut être un mécanisme qui peut permettre les ….
Jc² : Je ne veux pas le savoir !
A : Mais j…
Jc² : Non, j’ai dit non, tu en parlera avec ta mère, qui est folle d’impatience de savoir comment ça c’est produit !
A : Ok !
J² approchant des jumeaux : Vous deux, je vais vous interdire l’accès au hangar, combien de fois on vous l’a dit, si vous voulez volez, d’une, vous demandez l’autorisation et de deux, un soldat doit être avec vous !!
Mr : Oui mais là on y est pour rien, et puis …
J² : Ah ! Je ne veux rien savoir, votre mère vous l’avez dit, maintenant vous vous débrouillerez avec elle, je vous ai sauvez la dernière fois mais celle ci vous vous sauverez tout seul.
Mw : Très bien !
Jc² : Bon c’n’est pas tout mais faut pas tarder, on rentre car il se fait tard chez nous, et …
Ch : Mais on emmène Miyou avec nous ?!
J² : Qui est Miyou mon cœur ?
Ch : Ben lui !

Le raptors était resté invisible, tout le temps de peur qu’il se fasse tuer, mais lorsque Chelséa avait prononcé son nom, il se montra aux yeux de tous. Il s’approcha des jumeaux, qui le caressèrent, Chelséa monta sur le dos du raptors et tous deux s’approchèrent des trois hommes.

J² : Bon ça va être dur, de le faire accepter par votre mère, mais on y arrivera ! Merci pour les avoir accueillis avec vous !
E : De rien ! Ils sont adorables, enfin ils l’ont été pendant cette semaine.
Jc² : bon comme je disais tout à l’heure on va rentré car on a autre chose à faire, et je ne nullement l’intention d’entendre Mc Kay se plaindre !

Lorsque le groupe du futur, passa la porte, le calme réapparut sur la cité, laissant un vide dans le cœur de tout le monde, même de Mc Kay. La nuit tomba, et chacun alla dans ses quartiers, épuisé par les journées précédentes. Mais personnes ne réussirent à dormir, Elisabeth se leva et passa dans la petite pièce aménager pour la futur chambre des jumeaux. Les berceaux avaient été mis l’un à côté de l’autre, avec un espace entre deux, prés de la fenêtre se trouvait un magnifique fauteuil à bascule, avec la couverture que John avait été chercher chez les athosiens. Elle posa la couverture sur ses épaules et avança vers la fenêtre, l’ouvrit et fixa l’océan. John arriva derrière elle, l’emprisonna de ses bras, et lui déposa un baiser dans le cou !

J : Tu n’arrives pas à dormir ?
E : Non ! J’ai tel ment hâte qu’ils soient là, de les prendre dans mes bras, les bercer, leur donner leur biberon !
J : Il reste encore 5 mois, à attendre et puis je veux profiter de ceux-ci pour être avec toi, seul à seul, t’embrasser partout !
E : Oui, mais lorsque tu seras en mission, si tu ne reviens pas, je ne le supporterais pas !
J : Ne t’inquiète pas, Ronon et moi avons décidé de reprendre les explorations dans la cité, jusqu’à ce que vous ayez accouchez, car il est hors de question que je loupe ça !
E : Et je te l’interdit, tu as intérêt à être là ce jour !
J : Je te le promets !

Du côté de Teyla et Ronon, c’était un peu plus calme, ils étaient tout deux enlacés, les yeux grands ouverts. Teyla l’embrassa, elle avait de la chance d’avoir quelqu’un comme lui, c’est vrai que Ronon ne montre jamais ses sentiments, mais la nuit dernière elle avait vu son côté ours en peluche, jouant de la flûte pour sa fille, leur fille qui dans quelques mois arrivera. Elle posa sa main sur son ventre.

Ro : Est-ce que tout va bien ?
T : Oui, très bien ! Quand reprenez vous les missions ?
Ro : Après vos accouchement ! Nous allons seulement explorer la cité, selon sheppard !
T : Tu veux dire que tu seras à la base tout le temps !?
Ro : Oui, sauf lorsque l’on sera en mission à travers la cité !
T : Je suis contente que tu sois le père de Gaia, depuis que tu es avec nous, tu ne me laissais pas indifférente, je veux dire que …
Ro : Tu n’as rien à m’expliquer ! Nous sommes ensemble et c’est tout ce qui compte !

Ils s’embrassèrent, avant de succomber au bras de Morphée, comme tous ceux qui pouvaient dormir cette nuit. Le matin pointa le bout de son nez, une journée de plus dans la vie de cette expédition se préparait, mais quelque chose allait briser cette sensation de bonheur. Personne n’avait demandé aux enfants ce qui se passerait dans le futur, ils avaient eut une telle aventure entre l’arrivé des wairths, leur arrivé, l’histoire du raptors et du retours dans le futur, que ça leurs aient sortit de la tête. Pour une fois, Carson fut le premier à travailler dans l’infirmerie, une petite grippe se trimballait dans les couloirs et elle avait déjà attaqué trois personnes, mais celle-ci, selon les analyses elle était plus virulentes que celle sur terre. La fièvre montait rapidement, la respiration était difficile et la personnes dormait le plus clair du temps. Apparemment on venait encore de lui ramener deux autres personnes, Carson commençait à avoir peur qu’une épidémie ne se propage dans la cité, mais il avait surtout peur pour les deux femmes, car dans leur état actuel, il était hors de question qu’elles tombent malades. Il devra envoyer les deux couples sur le continent en espérant qu’elles ne l’aient pas attrapé, car il y avait un risque de fausse couche, et ça, ça ne devait pas arriver. Il s’occupa des nouveaux patients, puis alluma son oreillette, et contacta le colonel.

C : John !!
J : Oui Carson !
C : Je vous réveilles peut être ?
J : Non pas vraiment !
C : Je voulais vous prévenir qu’une épidémie de grippe est dans la cité, et que Ronon et vous allaient accompagner vos femmes sur le continent. Elles sont très vulnérables dans leur état et il ne faudrait pas qu’elles tombent malade.
J : Très bien, je préviens Ronon et on partira dans quelques minutes !


Une heure plus tard, les deux couples étaient réunis dans le hangar à jumper prêt à partir sur le continent, pour une période indéterminée. Teyla était folle de joie, de pouvoir passer quelques jours avec son peuple, car il était vrai qu’elle n’était pas venue depuis plusieurs mois. Elisabeth, était contente, car ça lui fera quelques jours de vacances, loin de la cité mais aussi, John et elle, pourraient faire autre chose, comme n’importe quel couple. Pendant le voyage, John fut obliger de conduire doucement, car les deux femmes tombèrent malade, enfin elles avaient plutôt le mal de l’air. Une fois sur terre, elles se sentirent déjà beaucoup mieux, les villageois furent heureux de revoirs leur leader, et l’accueillir en organisant le soir même, une fête. John invita Elisabeth à danser, Ronon fit de même avec Teyla et au fur et à mesure d’autres couples se joignirent à eux. Il était déjà très tard, lorsqu’ils allèrent se coucher.

J : Bonne nuit Teyla, Ronon !
T : Bonne nuit John, Elisabeth !

Trois mois s’était écoulés avant que la cité ne soit débarrassée de cette épidémie de grippe, qui avait fait quatre morts. Lors de ces trois mois, Elisabeth et Teyla étaient restées avec leur homme sur le continent, profitant d’une vie tout à fait normal, malheureusement, il était temps de revenir, d’une pour diriger la cité et de deux la deuxième écographie devait être passé. En arrivant su la cité, ils furent accueillis par Carson et Rodnay, tous heureux de les voir en bonne santé.

E : Alors Carson quoi de neuf depuis mon absence ?
C : nous avons eu un message de la part du Sgc nous annonçant, la naissance de la petite Alwena Oneill !
J : Elle est née avec un peu d’avance !
C : Oui, mais le médecin de la base, a dit qu’elle était en parfaite santé, sans avoir besoin de l’assistance d’une couveuse !
E : Comment va le colonel Oneill ?
C : Elle va très bien, juste un peu fatiguer, l’accouchement à durer un peu plus de cinq heures, mais les deux parents sont fou de joie !
T : Ca ne me rassure pas du tout de savoir que ça dure des heures ?!
E : Ne vous inquiétez pas Teyla, ça diffère selon les personnes, on peut accoucher en une heure ou plus !
J : le mieux c’est comme une lettre à la poste !
E : John !!!!!!
J : J’ai rien dit de méchant ! Faite pas attention à ce que je viens de dire !
R : John avez-vous bu avant de revenir ?!
J : Non pas une goutte.

Ils partirent tous ensemble au mess, pour partager un repas comme ils en avaient l’habitude. Le repas était très animé car en trois mois il s’en passe des choses et il fallait bien jouer les commères. Deux heures plus tard, ils étaient tous à l’infirmerie pour la fameuse écographie.

C : Au moins on a plus besoin de connaître les sexes des enfants, on en a eut un petit aperçu ! Alors je vais commencer par vous Elisabeth, je veux voir si les jumeaux vont bien ?
E : Ils bougent beaucoup en se moment, mais ils ont l’air bien.
J : D’ailleurs vous n’aurez pas un truc pour qu’ils puissent dormir, car je ne peux même plus prendre ma femme dans les bras ! Ils veulent ma peau ces garçons !
C : Je vais voir ce que je peux faire ! Mais avant tous, nous allons passer l’écographie. Alors …. C’est parfait, ils sont en pleine forme, en tout cas ils sont chacun d’un côté !
E : Ouche !! Les coups de pieds. (Rassurant John)
C : Des futurs casse cou !
J : Des futurs footballeurs, vous voulez dire !
C : A votre tour Teyla !
T : La mienne est plutôt calme, je la sens bouger mais pas autant qu’Elisabeth, est ce normal ?
C : Oui c’est tout à fait normal, les garçons ont réputations de bouger beaucoup plus que les filles. Mais cela ne veut pas dire qu’elles ne peuvent pas bouger autant !
T : Je suis soulagée, j’avais tel ment peur !
C : Je vous rassure tout de suite, elle se porte très bien, regarder ici, elle est entrain de dormir et suce son pouce. C’est pour cela qu’elle ne bouge pas, elle doit être une grosse dormeuse.
T : Tout comme son père !
Ro : Je ne suis pas si dormeur que ça ?!
J : Ah non ! C’est moi le champion du sommeil !!
E : Serais tu jaloux mon chéri !?
J : Je l’avoue, je suis un peu jaloux !
Ro : Vous ne devriez pas John, je vous laisse le titre avec plaisir !
J : Merci Ronon !

Les deux femmes s’échangèrent un regard, qui en disait long sur leur longue amitié, depuis qu’elles avaient appris qu’elles étaient enceintes, elles s’étaient rapprochées, dînant de temps en temps ensemble entre filles. Lors de ces dîners, Teyla et Elisabeth parlaient de leur homme, comment élevé un enfant malgré la menace des Wairths, et surtout, leur sujet favoris, les envies alimentaires bizarre qui les poussaient à rendre dingue leur homme. Elisabeth, adorait manger une glace vanille, avec des morceau de champignons noirs de la crème de marron et quelques fraises tagada et de la sauce piquante. Quant à Teyla, c’était plutôt, un bon morceau de viandes rouges bien cuite, avec de la chantilly et des morceaux de bananes. Cela les faisait rire de voir John et Ronon, tiraient une tête à faire peur, et de tout faire pour satisfaire leur dulcinée, même au beau milieu de la nuit, ils se levaient pour aller chercher le cas croûte de ses dames.

Il était un peu plus de 23h lorsque John se retrouva au mess, pour préparer une gaufre fourrée à la terrine de lapin nappé de chocolat chaud. Il ne comprenait vraiment pas comment elle pouvait avaler ce genre de choses, car il n’y avait vraiment pas d’autres mots, pour définir ces plats. Lorsqu’il entra à l’intérieur de la cuisine, il trouva Ronon entrain de préparer une chose bizarre.

J : Elle vous a demandé quoi cette fois ?
Ro : Je désespère ! Elle m’a demandé de lui ramener une salade composée, de pépites de chocolat, des noix de cajou, de la noix de coco râpée et du maïs. Vous pouvez m’expliquer ?
J : Je ne peux pas vous aider, moi elle m’a demandé une gaufre fourrée à la terrine de lapin, nappé au chocolat chaud. Je ne sais pas comment elles font pour manger ça, c’est infecte !
Ro sourcil à la Teal’c : Ouais, mais apparemment, c’est la seule chose qu’elles arrivent à manger.
J : Bon c’est pas tout, mais je dois lui apporter cette « chose », bonne nuit Ronon !
Ro : Bonne nuit John.

Il retourna dans sa chambre, Elisabeth était assis dans le lit, lisant le roman que John avait emporté sur atlantis. Il s’approcha d’elle, lui retira le livre, déposa le plateau sur ses genoux et l’embrassa.

E : Merci John, je mourrais de faim !
J : Tu es sur que tu vas manger ce « truc » ?!
E : Je sais que mes envies alimentaires sont bizarres mais je trouve ça bon !
J : Il n’y a pas que toi, Ronon était dans la cuisine aussi !
E : Ah oui, vous êtes des amours tous les deux !
J : C’est vrai ! Redit le encore !
E : Tu ne changeras jamais, tu aimes qu’on te fasse des compliments !
J : Oui, surtout venant de ta part !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:44

Elisabeth sourit à cette remarque et l’embrassa, avant de se rejeter sur son assiette. Il avait vraiment tous mis, pour satisfaire ses désirs, elle pensa alors, comment cette histoire avait commencé. Si elle n’avait pas insisté pour venir sur la planète d’Aubane, elle et Teyla ne seraient jamais tombés enceinte. John et Ronon ne seraient pas aujourd’hui à leur côté en tant que père des futurs bébés, elle se sentait vraiment heureuse maintenant.

Le lendemain, Teyla entra dans le bureau d’Elisabeth, avec un papyrus à la main venant du continent. Teyla frappa à la porte avant d’entrer.

T : Elisabeth ? Je peux entrer ?!
E : Oui bien sur Teyla, John vient de partir pour me ramener une assiette, j’ai un petit creux !
T : J’essaye de me retenir, car j’en demande trop à Ronon ! Il ne se plaint jamais !
E : John est pareil ! Tu voulais me voir ?!
T : Oui, les athosiens m’ont envoyé un message, ils nous invitent à participer à la fête d’hiberna !
E : Oh j’accepte volontiers ! Mais je ne connais pas celle là ?!
T : Celle-ci est beaucoup plus vivante que les autres, il y a des épreuves à faire, une piste de danse et de nombreux plats venant des différentes familles.
E : On a à peut prés les mêmes su terre, ça me fera du bien d’y aller, et puis John pourra s’amuser, il n’arrête pas de faire des compromis, pour s’occuper de moi ! Ce n’est pas que je n’aime pas ça, mais il a le droit aussi d’avoir des moments à lui.
T : Ronon, aussi, seul les entraînements avec John, sont ses moments à lui ! Sinon, il est toujours avec moi !

J : Coucou Teyla !
T : Bonjour John ! Comment vas-tu ?!
J : Très bien et toi ?
T : fatigué ! Je venais de dire à Elisabeth que les athosiens, nous invitent à venir sur le continent, pendant trois jours pour la fête d’hiverna.
E : Et j’ai tout de suite accepté, cela nous fera du bien de sortir !
T : En plus, il y aura des épreuves de forces, de vitesse et de logique !
J : Chouette ! On va bien rigoler pendant ces trois jours !
T : Ronon y participe aussi, il y aura une épreuve de sac, Rodnay nous à donner l’idée d’en faire une, en mélangeant adulte et enfant !
J : Attendez, on parle bien du même Rodnay Mc Kay, celui qui déteste les enfants ?!
E : Oui John, Rodnay a changé tu sais, tu devrais faire plus attention à lui, qu’à le taquiner tout le temps.
T : Depuis qu’il a vu, comment c’était d’avoir un fils, il adore les enfants, enfin, il les aime bien pour le moment, mais ça va de mieux en mieux.
J : Si vous le dite, enfin bref, moi je suis partant.
T : Bon je vais rejoindre Ronon, il doit m’attendre au mess ! On se retrouve sur le continent alors ?
E : Oui, à plus tard Teyla !

John s’assis sur le bureau et se pencha pour embrasser Elisabeth, elle lui répondit en l’embrassant plus passionnément qu’il en fut surpris. Soudain, elle posa sa main sur son ventre, les jumeaux bougeaient assez régulièrement et avec vigueur.
E : Ils ne sont même pas encore nés, et ils sont déjà insupportables !
J parlant au ventre : Vous allez obéir à votre mère, petits chenapans, et la laisser dormir au moins une nuit. Sinon je vais vous chatouiller, tous les jours !
E : Ce n’est pas avec ce genre de menace, qu’ils vont se calmer !
J : Allons préparer nos affaires, nous rejoindrons les autres sur le continent.
E : John !?
J : Oui ?
E : Je voulais savoir si ça te dérangeait, si on prenait Teyla et Ronon comme marraine et parrain, pour les jumeaux ?!
J : Non pourquoi, au contraire j’en serai ravi ! J’avais pensé à Rodnay, mais ce sera pour la prochaine !

Elisabeth, s’immobilisa, la prochaine, c’est vrai qu’elle allait avoir une fille, une magnifique petite fille, d’ailleurs !

J : Elisabeth, ça va ?
E : Oui ne t’inquiète pas, ça m’a juste surpris de t’entendre dire la prochaine !
J : Bon c’est vrai que maintenant, on a plus de surprise, mais je suis tel ment heureux de savoir qu’on va avoir d’autres enfants ! Surtout d’avoir une fille, car elle est aussi jolie que toi !
E : Merci, John !


Après quelques heures dans leur quartier, ils avaient tous rejoints le continent et la fête venait à peine de commencer. La neige était tombée toute la nuit dernière, et un peu pendant la journée, rendant le vol du jumper un peu plus lent, mais sans risque. Le paysage blanc, brillait avec les rayons de soleils qui arrivaient à percer les épais nuages gris, des fleurs en papier avaient été disposés un peu partout dans le village, des bonhommes neiges avec des grimaces accueillaient les gens. Les enfants jouaient à se jeter des boules de neiges, lorsque Ronon fut attaqué par l’une d’elles. Il retira la neige, regarda les enfants, prit de la neige à son tour et poursuivra ceux-ci, il attrapa l’un d’eux et le ramena à Teyla !

Ro : Alors que vas t’on faire de ce petit chenapan ?
T : Je ne sais pas, peut être la torture des chatouilles !
Enf : Non ! Ce n’est pas moi qui ai jeté la neige !
Ro : Si ce n’est pas toi, alors, je te relâche !

La petite fille, fut relâché et donna un bisous à Ronon.

T : Tu m’étonneras toujours, je ne te croyais pas si doué avec les enfants !
Ro : Je suis plein de surprise et je vais te les faire découvrir chaque jour !

Teyla s’approcha de lui et l’embrassa tendrement, il lui répondit par la même tendresse, l’entourant de ses bras puissants et chauds.

J : Vous pourriez choisir un endroit plus discret que l’allée principale !
E : John laisse les !!
J : Je rigole ma chérie !
T : Vous avez fait bon voyage ?
E : Un peu lent à cause de la neige, mais on a vu pire je crois !
T : Très bien, je vais vous montrer, vos maisons ?
J : Nos maisons ?!
Ro : Oui, les athosiens ont construit de petites maisons pour vous deux et pour les inviter !
E : C’est très gentil à eux, mais il ne fallait pas.
J : Elisabeth à raison, et puis on ne vient pas aussi souvent sur le continent que vous !
T : Oui je sais, mais ils ont pensé qu’ainsi, vous viendriez plus souvent ! Et puis maintenant avec les enfants, se sera plus facile de venir, ils ne vont pas passer toute leur vie sur atlantis ?!
E : Vous avez raison, on viendra chaque week-end et pendant les vacances !
T : J’espère bien !

Chacun gagnèrent leur maison, Rodnay et Carson furent mis ensemble. Les deux maisons étaient un peu semblables, mais à une différence, celle de John et Elisabeth avait une pièce en plus. L’entrée de chacune d’elle était très chaleureuse, avec une grande cheminée, des coussins avaient été disposé parterre en guise de canapé une table et des chaises sur le côté droit, puis sur la gauche deux chambres dont une plus petite. Vers 20h, le premier grand repas de la fête d’hiverna, commença, c’était plus un buffet qu’un repas, mais tout le monde pourrait se servir ce qu’il voulait. La musique raisonnait à travers le village et certains étaient sur la piste de danse, depuis que les athosiens avaient pris logement sur le continent, leur village de huttes s’étaient transformés e une véritable petite ville faîte de maisons en bois. Des remparts avait été construits tout autour de celui-ci, solide et impressionnant. John prit la main d’Elisabeth et l’emmena dans la forêt pour rester un moment seul avec elle. La lune était pleine et éclairait le sentier qu’ils avaient pris.

E : Pourquoi m’avoir emmener ici ? John ?!
J : Je voulais avoir un moment seul avec toi, j’ai un truc à te demander et si tu es d’accord, je voudrais que ça se fasse le plus rapidement possible !
E : Ca à l’air grave, tu es sur que tout va bien ?!
J : oui ne t’inquiète pas !

Elisabeth s’arrêta de marcher, une main sur son ventre bien rond, faisant apparaître son sixième mois de grossesse, et une main dans son dos, car il fallait l’avouer, porter un enfant vous donnez mal au dos. John se retourna, regardant Elisabeth droit dans les yeux, il était complètement fou de cette femme, elle était encore plus belle dans sa petite robe bleu ciel et son long manteau en grosse laine blanc qui reflétait la lumière de la lune. Il s’approcha, l’embrassa dans le cou et descendit jusqu’à sa main, mit un genou à terre et sortit quelque chose de sa poche. Elisabeth, n’en revenait pas, qu’est ce qu’il avait encore inventé, se noyant dans ses yeux chocolat, elle le fixa retenant sa respiration. Caressa sa main de son pouce, il ouvrit le petit boîtier et la lui montra, un sourire aux lèvres.
Elisabeth manqua de tomber, à la vue de l’objet, John la rattrapa et la serra contre lui, pour l’empêcher de fuir. Il lui remonta le visage et l’embrassa passionnément, comme jamais il ne l’avait fait.

J : Je ne suis pas très doué pour faire se genre de chose, c’est la première fois, mais je ne peut me passer de ta présence, et je veux finir ma vie avec toi ! C’est pour cela que je te demande si tu veux devenir ma femme ?
E : Euh je …
J : Je sais que te le demander, maintenant, c’est un peu précipité, les jumeaux ne sont pas encore nés, mais …
E : J’accepte !!
J : Tu … tu accepte, tu es sur de vouloir vivre avec un grand gamin toute ta vie ?
E : Oui je le veux !

Il lui passa une magnifique bague faite d’argent avec un saphir en forme de cœur, incruster dans l’anneau de celle-ci. Ils rejoignirent le village, au bout d’une heure de promenade, le sourire sur le visage d’Elisabeth, titilla la curiosité de Rodnay.

R : Elisabeth, vous allez l’air plus joyeuse, que tout à l’heure ?!
T : Oh ! John vous la demander !
E : Vous étiez au courant ?!
T : oui John, avait trop du mal à en choisir une, et il m’a demandé de l’aide !
J : J’avais vraiment envie de trouver celle qui serait parfaite !
R : Mais de quoi vous parlez à la fin !
J : Cela ne vous regarde pas encore, mon pauvre Rodnay !
R : Vous m’agacez John !!
E : Il m’a demandé de l’épouser, ne te mets pas dans des états pareils, c’est ce qu’il cherche !
R : c’est vrai !? Mais c’est qu’il va se mettre la corde au coup, notre cher Colonel !
J : Très drôle Rodnay !
R : A charge de revanche John !
T : Bon c’est finis vous deux ! Vous êtes pire que des gamins !
Ro : Ils ne peuvent pas s’en empêcher une seconde, s’ils ne passent pas une journée à se disputer, ils sont encore plus grincheux !
E : vous avez tout à fait raison !


Le premier jour de fête se termina assez rapidement, mais très tard dans la nuit. Le lendemain matin fut très calme, le soleil annonçait le milieu de la matinée et pas une personnes dehors, seul les animaux de ferme qu’avait offert la terre et ceux que les athosiens avaient pu apprivoisé sur le continent, étaient debout. Ce n’est que vers 12h, que les villageois sortirent et commencèrent à préparer la seconde fête, Ronon était avec les enfants, à la rivière entrain de pêcher du poisson, pour se soir, pendant que Teyla et les petites filles du village, tissèrent des toiles.
John et Elisabeth dormaient toujours, enfin lui, la regardait, la parcourant de ses yeux doux, approchant sa main de son visage. Il lui caressa la joue, la réveillant tout doucement, elle ouvrit les yeux, offrant à son compagnon un magnifique sourire, l’embrassant tendrement ensuite.
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:45

J : Hum, j’adore le nouveau réveil matin ! Si c’est comme ça tous les matins, je crois que me lever très tôt sera facile !
E : Ah oui, même si c’est à 6h voir 5h du matin !
J : Si j’ai ce genre de réveil, oui !
E : Ne me tente pas à faire l’essaie !
J : Oh mais tu peux essayer, mais pas tous les jours, j’aime bien mais grâce mat !
E : Et moi je crois que je commence à aimer les grâce mat !
J : Ah oui, ça tombe bien, je n’ai aucune envie de me lever aujourd’hui !
E : John, il est plus de midi, ça ne se fait pas !
J la prend dans ses bras : D’accord, mais juste cinq minutes, tous les deux !
E : Cinq minutes, pas plus !


Au bout de quinze minutes, tout le village était en effervescent, discutant et jouant devant un mini buffet. La seconde fête ne commençait que vers la fin de l’après midi, avec deux épreuves, la course en sac où un enfant et un adulte serait une équipe. Ronon allait faire équipe avec une petite fille du nom de Anja ; John avec un petit garçon tout blond, Ionah ; Rodnay eut l’obligation de faire équipe avec une petite fille, Olaria, qui ne le quittait plus d’une semelle. Carson, s’était lié d’amitié avec un adolescent du nom de Foelan et faisait donc équipe avec lui. Elisabeth et Teyla resteraient sur le côté, à cause de leur grossesse, comme le disait John, elles seraient leurs pom-pom girl ! Il avait fallut expliquer à Teyla ce qu’était une pom-pom girl, et cela l’avait fait beaucoup rire.
Olaria suivait Rodnay comme son ombre, ce qui énerva le scientifique au plus au point, il s’arrêta, se baissa pour être à la hauteur de la gamine et la fixa.

R : Olaria, je te l’ai déjà dit, je ne veux pas que tu me suives tout le temps, va jouer avec tes amis !
O : Nan !
R : Pourquoi moi ?!
T : vous savez Rodnay, Olaria ne parle pas d’ordinaire, ce n’est qu’avec vous qu’elle le fait !
R tout doux : Ah oui ?!
T : Elle a perdu ses parents, l’année dernière et maintenant elle vit chez des personnes bien, mais depuis ce jour elle n’a pas prononcé un mot !
R : Oh, je vois ! Mais je ne sais pas comment m’y prendre avec les enfants !
T : J’ai confiance en vous Rodnay !
R : Teyla, on se connaît maintenant depuis assez longtemps pour se tutoyer !
T : D’accord, je te la laisse, elle est très sage ne t’inquiètes pas !
R souriant : D’accord, mais ne le dite pas à John, il trouverai encore des choses pour se moquer de moi.
T : Très bien, à se soir alors !
R : Oui à se soir ! Tu viens Olaria !

Il lui tendit sa main, que la petite prit avec joie et lui offrit un magnifique sourire. Plusieurs heures après le commencement de la fête, Olaria s’était approché de Teyla, les larmes aux yeux. Rodnay avait du retourner sur atlantis chercher quelques choses et avait laisser la petite à Teyla. Ronon prit la fillette dans les bras pour la consoler, celle-ci pleura à chaude larme.

Ro : Olaria, Rodnay va revenir ! Sèche tes larmes, tu ne vas pas lui montrer ce petit visage tout mouillé ?!
O : …
E : On dirait qu’elle a vraiment adopté notre scientifique !
T : Oui c’est plutôt encourageant, les personnes qui s’occupent d’elle n’arrive pas à se faire obéir, ni à la faire parler ! Rodnay a réussi et elle prononce seulement deux mots mais c’est déjà bien !
J : Et je suis sur que mon ami, ne doit pas être tendre avec elle !
T : Au contraire John, Rodnay adore Olaria, il est d’ailleurs retourné sur atlantis pour chercher un objet pour elle !
J : C’est vrai ? Eh ben j’en reste sans voix !
E : Pour une fois !
O : Odnay ! Odnay !

La petite descendit des bras du runner et courut rejoindre Rodnay, en lui sautant dans les bras, le scientifique l’attrapa et lui déposa un baiser sur le front.

R : J’aime beaucoup ce genre d’accueil ! Tien c’est pour toi Olaria, j’espère qu’il te plaira !

Olaria prit le paquet et déchira le papier avec délicatesse, elle resta bouche bé lorsqu’elle vit une magnifique petite vache en peluche. Elle serra très fort la peluche tout en restant dans les bras du scientifique, et lui déposa un bisou sur la joue.

R : Teyla est ce que je pourrais te parler en privée, après la fête bien sur ?!
T : Oui bien sur !
R : C’est très important à mes yeux, et j’aimerai que personne ne soit au courant pour l’instant !
T : Ne t’inquiète pas, tu peux me faire confiance !
R : Merci Teyla.

Les équipes étaient toutes sur la ligne de départ, prête à partir, la chef des athosiens qui n’est autre que Teyla, tambourina sur un gong. Le départ fut acclamé par une foule en délire et plusieurs équipes étaient tombées au sol, dont l’équipe de Sheppard et de Ronon. Rodnay et Olaria furent les premiers et gagnèrent la course en sac.

T : Merci Ronon !
E : Merci John !
Ro & J : Quoi ?!
E : vous avez laissé Rodnay gagner !
T : Oui c’est très gentil de votre part !
J : On pourra se venger l’année prochaine !
Ro : Oui et puis on le bat à longueur de journée !
R : Vous avez vu, on vous a battu à plat couture !
J : Ne vous en vantez pas, Rodnay !!
O : Odnay, soif !
R : Viens on va aller chercher du jus de fruits ! Teyla, vous pouvez venir avec nous s’il vous plaît ?!
T : Avec plaisir Rodnay !

Ils s’en allèrent vers le buffet, Rodnay tendit un verre de jus de pomme à Olaria et lui demanda d’aller voir la prochaine course.

R : Teyla je voulais vous demander si je pouvais adopter Olaria !
T : Vous … vous voulez adopter Olaria ?
R : Oui, en fait je crois que j’aime bien sa présence, et puis …
T : C’est merveilleux Rodnay, grâce à vous elle sera heureuse, et je suis d’accord pour que vous l’adoptiez !
R : C’est vrai … merci Teyla !
O : Odnay !
R : Olaria, vient voir, j’ai une chose à te demander ! Est-ce que tu veux bien de moi comme papa ?!

La petite resta figée, les larmes aux yeux, serrant sa vache d’un bras et se jeta dans ses bras. Elle enfouie sa tête dans son épaules.

O : Papa !
R : Ca fait drôle de se faire appeler comme ça ! Ne te mets pas dans cet état Olaria, cela ne te dérange pas de vivre sur atlantis avec moi ?!
O : Nan !
T : Je pense qu’avec vous, elle fera d’énorme progrès pour parler, j’en suis ravie ! Je vais prévenir la famille qui s’occupait d’elle !
R : Merci Teyla !
Teyla sourit à la vu de cette nouvelle petite famille, elle n’avait jamais vu le scientifique s’occupait de quelqu’un d’autre que sa personne, mais le fait qu’il est voulu adopter Olaria, voulait dire qu’il avait beaucoup changé. Elle pensa même que le changement s’était produit lorsqu’ils avaient eut la visite de leurs futurs enfants. Ronon aussi avait changé depuis, il était plus tendre et doux que ce soit envers elle ou les enfants, par contre niveaux jalousie, lui et John étaient les rois. Teyla avait déjà vu comment John s’entendait à merveille avec les enfants, mais depuis qu’il allait être père, son comportement avait changé, moins comme un gamin, mais plus en adulte. Elisabeth l’avait fait remarquer à Teyla quelques heures auparavant et avait été d’accord avec elle. Après avoir expliqué la nouvelle à la famille qui hébergé la petite, Teyla rejoignit le reste du groupe, se blottissant dans les bras de Ronon.

Ro : Est-ce que ça va ?
T : Oui très bien, Olaria vient de trouver son nouveau papa !
Ro : Alors la rumeur était vraie ?!
T : Oui, elle était !
J : Quel est cette rumeur !
E : John tu es pire qu’une commère !
J : Eh mais je veux savoir moi !
T soupirant : Rodnay vient d’adopter Olaria si tu veux tout savoir !
J : Notre Rodnay est devenu papa ! C’est génial !
C surpris : J’aurais pensé que tu te serais moqué de lui !?
J : En aucun cas, au contraire je suis super heureux pour lui, c’est la première fois qu’il s’occupe de quelqu’un d’autre, qui plus ai n’est pas en danger.
E : John aussi à changer depuis qu’il sait, qu’il va devenir papa !
T : Ronon aussi !

Ils finirent la soirée très fatigués, même épuisés, dansant chacun avec leur compagne ou compagnon. La nuit fut silencieuse et calme, enfin jusqu’à ce qu’une créature gigantesque atterrisse silencieusement mais effrayant tous les animaux. Le troupeau de vaches et de bœufs défoncèrent leur enclos, et partirent droit devant eux, bousculant les tables du buffet, ainsi que quelques huttes habitant des villageois de différent village. La créature enflamma tout ce qu’elle trouva sur son passage, attaquant les plus gros animaux et les dévorants. Les fermiers essayèrent tant bien que mal à récupérer leurs bêtes et à mettre leurs familles en sûreté, John et Ronon restèrent avec leur femme, les aidant à courir.

R : Avez-vous Olaria !
J : Non ! Elle n’est pas avec vous ?
R : Non, elle était partit dire bonsoir à Alma !
Ro : On va la chercher avec vous !
J : Oui, Elisabeth, Teyla vous pouvez vous en tirer toute seule !?
E : Oui ne t’inquiète pas, retrouve Olaria, Rodnay est mort d’inquiétude !
J l’embrassant : Fait attention à toi d’accord !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:46

Les trois hommes fouillèrent le village, mais elle resta introuvable, Rodnay se sentait très mal, ne faisant pas attention à sa propre sécurité. Cela avait impressionné John et Ronon, leur ami avait réellement changé de comportement.
La petite Olaria était cachée derrière un tas de tonneaux de vin, regardant tout le monde courir dans tous les sens, criant, hurlant, brûlant ou se faisant dévorer par la créature. Elle pleurait, ne sachant pas où aller, cherchant son nouveau papa qu’elle aimait plus que tout, la créature se figea, renifla l’air et se tourna vers la pile de tonneaux. Olaria ne bougea plus, cessant même de respirer, elle essaya de courir vers la gauche, mais la peluche qu’elle tenait la fit trébucher se retrouvant parterre face à ce monstre ! Elle était pétrifiée de peur, ne pouvant bouger aucun membre, pleurant à chaude larme, étant donné qu’elle ne parlait plus, elle ne pouvait crier le nom de son père et demandait de l’aide. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se trouva face à un magnifique dragon noir de plus de trois mètre de haut, ses yeux rouges fixèrent le morceau de viande qui se trouvait à terre. Il s’avança vers elle, ses pas raisonnaient à chaque poser au sol, la faisant aussi trembler, le souffle chaud et brûlant, l’odeur de son haleine empestait le sang chaud dont des gouttes s’échappèrent de ses mâchoires puissante d’où les dents blanches et acérées brillaient au rayon de la lune. Rodnay, John et Ronon passèrent justement par là, tous les villageois étaient en sûretés et ils ne restèrent qu’eux parti à la recherche d’Olaria.
John n’eut pas le temps de le retenir qu’il était déjà au côté de sa fille, la serrant dans ses bras.

J : Mais il est devenu complètement fou ou quoi ?!
Ro : Oui fou et complètement stupide !

Les deux hommes tirèrent sur le dragon avec leur P90, ce qui d’ailleurs avait valu une petite dispute entre Elisabeth et John. La créature leur fit face et se rua vers eux avec hargne et colère, les balles n’avaient fait que ricocher sur sa peau dure sans l’effleurer. Le militaire et le runner n’attendirent pas et tirèrent sur celle-ci, vidant leurs armes, mais elle déploya ses ailes et s’envola dans le ciel noir en direction des chaînes de montagnes, en emportant avec lui, un homme du village se trouvant derrière eux.

J : Mais qu’est ce que … ?! Rodnay !
R : Elle n’a rien !
J : Rodnay, vous êtes dingue, vous auriez pu vous faire tuer !
R : Olaria aussi !
J : Vous n’étiez pas armée !
R : Mais vous le fait tout le temps vous !
J : Moi je suis entraîné !
Ro : Vous avez finis, il faudrait qu’on rentre, maintenant !
J & R : Pardon
R : Ca va ma puce ?! Je crois que ça ira mieux demain !
O : …
J : Il va falloir qu’on aille voir ses chaînes de montagnes d’un peu plus prés, car s’il y a plusieurs de ses bestioles, les athosiens sont en dangers !
Ro : Nous en avons vu qu’un, peut être était il attiré par quelques choses ?!
J : Peut être, de toute manière il va falloir allez voir, c’est bizarre qu’il n’est attaqué que maintenant ?! Pourquoi justement a ce moment précis ?!
Ro : Oui, depuis que les athosiens sont installés ici, il y aurait du avoir plusieurs attaques, si cet animal est carnivore, il aurait attaqué depuis longtemps.
J : Je suis d’accord avec vous, et ça revient à se que je disait, c’est bizarre !
R : Vous, vous souvenez de Miyou, le raptors, les enfants nous ont dit qu’il avait été toujours sur Atlantis, mais les anciens ont bien pu allez le chercher derrière ses chaînes de montagnes.
J : Rodnay ! Le courage vous fait délirer !
R : Non, mais peut être que quelqu’un de chez nous, curieux et stupide certes, mais curieux a pu et déclencher un malentendu avec un peuple qui vit là bas ?!
Ro : Rodnay a raison, pourquoi aurait il attaqué maintenant, si personne n’a commit de faute ?!
J : Je n’en ai aucune idée !

Ils arrivèrent devant la grotte où tout le village avait trouvé refuge, ainsi que les atlantes venu sur le continent.

E : John ! Vous l’avez retrouvé ?!
J : Oui mais nous avons un énorme problème !
E : Nous l’avons remarqué ! Et qu’est ce que c’était ?!
R : D’après John, un dragon vivrait dans les chaînes de montagnes !
T & E : Un quoi ?!
J : Un dragon, mon cœur !
E : Tu es sérieux là ?!
J : Oui, et on pense que quelqu’un de chez nous l’aurait offensé !
T : Pourquoi un atlante ?!
Ro : Les chaînes de montagnes ne sont accessibles que par jumper, sinon il faudrait un peu plus de deux mois pour parvenir à ses pieds et plusieurs mois pour parvenir à pied de l’autre côté.
E : C’est assez logique !
J : Et il va falloir faire un tour pour voir comment on peut réparer cet incident !
T : Je crains qu’on doit rentrée plus tôt et que le dernier jour de fête ne soit annulé !
E : Teyla, les athosiens devraient venir sur Atlantis, se serai plus prudent !
T : Ils ne voudront pas laisser leur village !
E : Autorisé au moins une patrouille de soldats, où cas où !
T : Très bien !


Les villageois retournèrent dans leur maison, et commencèrent le nettoyage, car il y avait beaucoup à faire. Tous les atlantes avaient repris les jumper et retourner sur atlantis, sans la moindre attaque du dragon, ou d’une autre créature bizarre. Rodnay accompagna Carson et les blessés jusqu’à l’infirmerie, il voulait vraiment s’assurer que sa fille allait bien, car la petite avait refusé de quitter les bras de son père, même pour aller s’asseoir dans le jumper, restant accroché à son cou fermement. John et Ronon repartirent dans leur quartier avec leur femme, se reposer, car la soirée avait été crevante, voire plutôt agitée. Une patrouille de soldat fut envoyée sur le continent, avec pas mal de munition et d’armes, car étant donné que les balles des P90 ricochaient sur la peau de la créature, il fallait trouver laquelle serait efficace.
Elisabeth se tenait devant la baie vitrée de leur chambre, regardant le soleil se lever.

J : Ne t’inquiète pas, il ne viendra pas jusqu’à atlantis et puis les détecteurs sont là !
E : Je sais, mais je pensais demander au Dc Jackson de venir nous aider, si Ronon et toi trouvaient quelques choses !
J : Il est archéologue, il nous sera très utile, mais … ?
E : Vala est enceinte et je ne crois pas qu’il est envie de la mettre en danger, toi c’est ce que tu ferais ?!
J : Oui c’est même certain ! Mais le peu que je connaisse Vala, elle voudra venir qu’il soit d’accord ou non !
E souriant : Oui, elle va le rendre dingue jusqu’à ce qu’il accepte qu’elle vienne ! Que ferais tu si je voulais venir ?
J : Je ferais tout pour que tu restes sur atlantis, en sécurité ! Et puis tu ne laisseras jamais Teyla seule, donc je sais que tu ne viendrais pas avec nous !
E : Tu as raison ! Teyla est déjà inquiète à l’idée d’avoir un bébé, je préfère rester avec elle pour la rassurer !
J : Et toi ? Tu n’es pas inquiète à l’idée d’en avoir deux !?
E : Curieusement, non !
J : Tant mieux ! Car je veux en avoir plein d’autre avec toi !
E : Oui ! Ben tu attendras que ces deux là naissent et on verra après ! Tu viens te coucher ?!
J : J’arrive !

Tous ceux qui étaient revenu du continent, dormirent quelques heures seulement, mais suffisamment pour être opérationnel. Ronon et John, étaient déjà partit avec un jumper vers les montagnes, pendant que Teyla et Elisabeth restèrent dans son bureau à discuter, inquiète à l’idée de ce qui pouvait se passer là bas !

T : Ce genre de créature existait sur terre ?
E : D’après des légendes oui, de toutes races aussi ! La taille, la couleur diffèrent selon les croyances et les peuples, mais sont catalogués comme néfaste à la vie humaine.
T : Et le Dc Jackson serait plus apte à nous expliquer la vie des créatures ?
E : Oui, il est le spécialiste, pour tous ceux qui touche aux civilisations anciennes.
T : Cela fait combien de temps, qu’ils sont partit ?
E : Trois heures maintenant ! Et puis dans le jumper ils ne craignent rien !
Sergent : Dc Weir, le colonel Sheppard sur la radio !
E : Bien, merci Sergent ! John je t’écoute, qu’as-tu trouvé ?!
J : Une immense grotte, avec des restes de squelettes un peu partout, mais surtout des restes d’animaux ! A mon avis, cette créature vit ici depuis longtemps, attends une minute …
E : John ?! John !?
J : On vient de retrouver des restes de wairths !
E : Quoi ?! Et ….
J : Le paysage qu’on voit est immense, mais cela ressemble à une forêt vierge comme l’Amazonie à quelques siècles prés.
E : Rentrez, maintenant ! Je vais appeler le Dc Jackson !
J : Elisabeth …
E : John, vous, rentrez !
J : Teyla ?
E : Oui !
J : Ok, on revient !

Les deux hommes sortirent de la grotte, et montèrent dans le jumper, lorsque la fameuse créature atterrit devant eux, entre la grotte et le jumper. Celle-ci les regarda, reniflant l’air et rentra dans la grotte, ils se regardèrent médusés, par la réaction de l’animal, pourquoi ne les avait elle pas attaqué ? Pourtant ils avaient tiré sur elle, la veille au soir, ils étaient devant, sa tanière d’après ce qu’ils avaient pu voir ! Ils ne cherchèrent pas midi à quatorze heures et rentrèrent sur atlantis, le plus vite qu’ils pouvaient. Arrivé dans la salle de contrôle, John chercha sa dulcinée et la trouva dans son bureau avec Teyla et le Dc Jackson, ils frappèrent à la porte vitrée et entrèrent. John s’assis à côté de sa femme et Ronon prés de Teyla, s’excusèrent de rentrer à l’improviste.

J : Dc Jackson !
D : Daniel !
J : Vous avez réussi à venir seul !
D souriant : Non, elle est à l’infirmerie avec Carson, le voyage la rendu malade !
J : Oh !
E : John je viens d’expliquer à Daniel, pourquoi on l’a appelé, il ne reste plus que ton rapport !
Ro : A mon avis, il cherche quelques choses qu’on lui aurait dérobées !
J faisant des signes de silence : Ronon !
E : John je peux savoir ce qu’il se passe !?
J : Vous n’auriez pas pu vous taire, elles sont déjà inquiètes …
E : JOHN !
J : Au moment du départ, le dragon à atterrit devant la grotte, ainsi que devant le jumper !
E & T : QUOI !!!!
Ro : Il ne nous a pas attaqué, il est simplement rentré dans la grotte, qui est sa tanière, d’après les restes qu’on a trouvé !
D : Pardon, mais il ne vous a pas attaqué alors que la veille, il a pratiquement détruit le village !?
J : Oui, c’est assez étrange, mais Ronon a peut être raison, il cherche quelque chose et il connaît le faussaire. Il a reniflé l’air et il est partit !
D : Il vas falloir que je vois ça de plus prés, vous n’avez rien trouvé de spéciale ? Des inscriptions ou quelque chose d’autre qui pourrait nous servir ?
Ro : Non désoler !
V : Alors j’ai manqué quelque chose ?!
D : Tu pourrais frappé avant d’entrée !
V : Pourquoi faire, tu ne m’aurais pas entendu !
D : Vala, nous ne sommes pas au SGC !
V : Raison de plus ! Alors j’ai manqué quoi ?
E sourit : Pas grand-chose, à part que la créature cherche quelque chose qui lui appartient et que cette chose, se trouve quelque part sur cette planète.
V : Chouette un peu d’aventure !
D : Non toi tu resteras ici avec Elisabeth et Teyla !
V : Eh, mais je m’ennuis, au SGC j’ai rien droit de faire, déjà que je ne part plus en mission, parce que monsieur l’a décidé, mais je devrais rester ici à rien faire !
D : Vala ne te mets pas dans des états pareils !
V : Comment vous faîte vous, pour ne pas péter un plomb ?!
E : Je ne part que très rarement en mission et puis les scientifiques sont aussi dur à gérer !
T : C’est mon premier enfant et je sais que je n’ai vraiment pas envie qu’il lui arrive quelque chose ! Même si je partais en mission régulièrement.
V : Pour Adria, je suis resté trois jours attaché à un bûché, alors partir en mission c’est plutôt de la rigolade !
D : J’ai dit non et je ne reviendrais pas là-dessus !
V : Mais…
D : Non ! Excusez nous, mais peut on continuer ?!
J : Pour le moment, on a ramené plusieurs échantillons pour Rodnay, je préfère connaître l’animal avant d’attaquer et surtout savoir ce qu’il cherche !
D : j’ai ramener tous les ouvrages qui concerne cette créature mythique, il me faudra sa description pour savoir du quel on parle !
Ro : Il en existe beaucoup !
D : Oui, les races et les caractères différents selon le climat, les pouvoirs magiques, ce qu’ils mangent, les croyances des peuples !
Ro : Oh !
E : Bon, en attendant les résultats de Rodnay, j’aimerai aller me reposer car je suis assez fatigué, je n’ai pas beaucoup dormit !
D : Oui, je vais me plonger dans les recherches, toi, tu vas te reposer aussi !
V : Je ne suis pas fatigué !
D : Vala !
V : Tu m’agaces !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:47

Elle partit folle de rage dans les quartiers qu’on leur a assignés, sans un regard à Daniel qui leva les yeux au ciel. Décidément cette femme, le rendait fou !

D : Désoler, mais depuis un moment, elle est comme ça, s’énervant pour un rien, je ne sais pas ce qu’elle a et ça m’énerve !
E : Les hormones !
T : Nous ne sommes pas comme ça, enfin j’espère !
Ro : Non, vous êtes très calme !
J : Oui c’est vrai, je m’attendais à pire, mais c’est vrai que vous êtes très calme, Elisabeth s’énerve, mais ça c’est moi qui le cherche aussi !
E : Tu le reconnais !?
J : Oui je l’avoue, je pousse le bouchon un peu loin de temps à autres !
D : Vous avez de la chance, mais je crois que le départ de Sam, y est pour beaucoup, elle est seule maintenant à la base, et c’est vrai qu’il n’y a rien à faire !
T : Pourquoi ne pas rester avec nous, jusqu’à ce que la grossesse soit à termes, comme ça elle sera avec nous, et puis on apprendra à se connaître ?!
D : Je ne veux pas m’imposer !
E : Teyla à eu une excellente idée, et puis vous profiterez de la citée !
D : Merci beaucoup Elisabeth !
E : Mais de rien !

Daniel partit rejoindre Vala, pour lui expliquer le changement effectué. Il savait qu’il allait avoir du mal à lui parler, mais de tout façon il en avait prit l’habitude. Lorsqu’il arriva devant la porte de sa chambre, il frappa, pour éviter d’avoir un objet à la figure, mais aucune réponse ne vint à ses oreilles. Il entra dans la chambre, fouilla dans la salle de bain, mais elle n’était pas là. Commençant sérieusement à s’inquiéter, il essaya le mess, personne, il retourna alors dans le bureau d’Elisabeth.

D : Pardon de vous déranger, mais Vala n’est pas dans nos quartiers, et je ne l’a trouve nulle part, ça m’inquiète !
J : Désoler, on ne l’a pas vu depuis la réunion ! Attendez on peut la retrouver avec les capteurs !
E : Oui, elle ne doit pas être loin ! Sergent !
S : Oui tout de suite Madame ! D’après l’écran, elle se trouve sur l’un des balcons de l’aile l’ouest !
D : Elle est allée aussi loin ! Elle devait être vraiment furax !
S : En tous cas, elle ne bouge pas !
D : Merci !

Daniel courut jusqu’à ce fameux balcon, Vala était assis parterre, le dos contre le mur. Lorsqu’il s’avança vers elle, il se précipita à ses côté, Vala était en pleure, une main crispé sur son ventre rond, respirant fortement et avec difficulté.

D : Vala !!!!!!
V : Daniel …. J’ai mal aaaaaaaahhhhhhhh !!!
D: T’inquiète pas, je suis là maintenant !
V : Daniiiiiiieeeeeeelllllll !
D : Elisabeth ?!
E : Daniel qu’est ce qui se passe ?
D : Vala à des douleurs, appeler Carson s’il vous plait !

Carson arriva et l’emmena sur une civière, Daniel était comme un fou, à attendre les résultats, il n’avait jamais vu Vala dans cet état. Le médecin arriva avec des bandages, les douleurs étaient telles qu’elle avait enfoncé ses ongles et doit dans la peau de son amant.

C : Montrer moi ça, et vous pourrez allez la voir après !
D : Qu’est ce qui c’est passé ?
C : Je ne vais pas vous cacher, qu’elle a eu de la chance, ces douleurs étaient un avertissement, elle devra rester tranquille jusqu’à la fin de la grossesse, pour ne pas le perdre !
D : Vous voulez dire que nous avons faillit perdre notre fille ?
C : Oui, et si vous n’étiez pas aller la chercher, elle serait morte ! Voilà vous pouvez aller la voir, mais surtout elle doit se reposer !
D : D’accord, merci !

Daniel s’approcha de Vala, il a vit très pâle.

D : Vala.
V les larmes au yeux : Daniel, je suis désolé, je ne ferais plus de bêtises c’est promis !
D : Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas, mais tout ce passera bien !
V : J’ai déjà perdu une fille à causes des oris, et maintenant c’est moi qui, ait faillit donner la mort à notre fille !
D : Vala ! Tu n’es en rien responsable, d’accord, Elisabeth nous a gentiment invité à rester jusqu’au terme de ta grossesse, comme ça tu ne seras jamais seule et tu pourras te reposer.
V : Merci !

Elle se blottit contre lui et restèrent comme ça, jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Il a reposa sur son lit et partit rassurer ses nouveaux amis. Il trouva John et Ronon dans la salle d’entraînement, les deux femmes voulant passer un après midi entre elles. Lorsqu’il entra dans la salle, il rattrapa de justesse un des bâtons.

D : Ooohhh, doucement !
J : Pardon Daniel, je ne voulais pas vous faire peur !
D : Y a pas de mal ! Je voulais seulement vous prévenir que Vala va mieux !
Ro : Carson nous a tout expliqué !
D : Ok ! Ca vous dit de manger un morceau avec moi ?
J : Oui volontiers ! Ronon ?
Ro : Avec plaisir !


Les bras chargés de sac, elles rentrèrent dans l’infirmerie, et déposèrent le tout sur l’un des lits se trouvant à côté de celui de Vala. Dans les sacs, il y avait plusieurs boites contenant différent plats, les deux femmes pensaient qu’après l’incident que Vala avait subi, elle aurait surment faim.

E : Carson peut on rester avec elle cet après midi ?
C : Oui, ça lui fera du bien ! Mais elle ne doit pas quitter le lit, enfin pas avant trois jours !
T : Très bien, cela ne vous dérange pas si l’on vient à chaque fois ?
C : Oui elle se sentira moins seule !

E : Coucou Vala !
V faiblement : Bonjours !
T : vous avez faim ?
V se relevant : Oui je meurs de faim !
E : Alors comme nous mangeons toutes pour deux, nous avons pris différent plats ! Chinois, japonais, italien, français, et plein d’autres !
T : moi j’ai une préférence pour la nourriture française !
V : Merci !
E : Pourquoi ?
V : Daniel à du vous dire que j’étais bizarre, depuis quelques temps, il pense que c’est depuis que Sam est partit, c’est vrai que je me sens seule, mais …
T : Ce n’est pas ça, vous avez peur de quelque chose ?!
V : vous savez, ce n’est pas la première fois que je vais donner naissance, mais j’ai peur qu’on m’enlève ma fille, comme la première !
E : Pas ici, et puis Daniel sera à côté de vous !
V : Mon premier mari était à mes côtés aussi, et maintenant vous connaissez les dégâts que cause ma fille Adria.
T : Mais se sera différent, celle-ci vous allez la mettre au monde ici, et il n’y a pas d’oris !
E : Teyla à raison ! Alors par quoi voulez commencer ?

V : Daniel, m’a emmener dans un restaurant japonais une fois, alors je vais prendre le japonais.
E : Moi se seras plutôt le thaïlandais !

Les trois femmes, passèrent toute la journée ensemble, faisant connaissance, et bien sûr, parlant des petites manies de leur hommes. C’est ainsi qu’on appris que Ronon, adorait jouer de la flûte, que John essayer de lire un bouquin, mais était toujours à la première page, et que Daniel buvait un chocolat chaud avant de dormir ! Daniel arriva tard le soir accompagné du militaire et du runner, Carson demanda à tout le monde de sortir et de revenir seulement demain matin. Daniel était le seul à avoir l’autorisation de rester et de dormir à l’infirmerie.
John et Elisabeth, se baladaient sur leur balcon, enlacé l’un à l’autre, regardant l’océan, ils adoraient ses moments là ! Quelque chose attira l’attention du Colonel, une chose arrivait à grande vitesse.

E : John qu’est ce que c’est ?
J : J’ai une petite idée ! Tu restes dans la chambre, et tu n’en sors pas !
E : Fais attention !
J : Ne t’inquiète pas !

Ronon, le rejoignit pas longtemps après en salle de contrôle, ayant interdit à Teyla de sortir également de la chambre. Daniel arriva en courant.

D : Je crois que votre ami, le dragon est venu nous faire une petite visite !
J : Donc ça confirme notre hypothèse, qu’un atlante a réussi à lui voler un objet et il est bien décider à le reprendre.
Ro : John ! Il vient d’atterrir et commence à mettre le feu partout !
J : Où as t il attaqué ?
Ro : Du côté des scientifiques et des chercheurs !
J : Rodnay ! Répondez !
R : John ?!
J : Où êtes vous ?
R : Dans mes quartiers, Olaria est morte de fatigue mais elle ne veut pas me lâcher, elle a aperçu la créature et …
J : Ok Rodnay, vous restez dans vos quartiers, car il vient d’attaquer la zone des scientifiques !
R : D’accord John, il recherche bien quelque chose ?
J : Je le crains ! Bon prenons des fusils à pompe, cela marchera peut être.

Au moment où ils partirent protéger les différents scientifiques de la base, ils entendirent des cris et des battements d’ailes. S’approchant des baies vitrées, tous virent la créature emporter un homme, vers sa demeure. Une fois le calme revenu sur atlantis, Elisabeth annonça une enquête, et demanda à tous les scientifiques de venir dans son bureau, un par un, pour connaître la vérité. Ronon serait là, à la demande de John, au cas où, selon lui. Elisabeth ne comprenait pas pourquoi John avait insisté, pour que le runner soit présent lors des entretiens, mais elle, avait capitulé lorsqu’elle avait vu son regard de petit cocker.

E : Ronon, tu n’es pas obligé de rester !
Ro : Je l’ai promis à John, et puis il préfère que se soit moi, que lui, car d’après ces mots, « cet imbécile de scientifique, si nous le trouvons, aurait reçus son poing dans la figure »
E : Et si ce scientifique est une femme ?
Ro : Bonne question !
E : Qui passe en premier ?
Ro : Le Dc Soma Yoko !
E : Faîte la entrer !

La scientifique entra, tête basse, les mains l’une au dessus de l’autre, les bras le long du corps, saluant sa supérieur à la manière japonaise, en signe de respect.

Y : Dc Weir san, konnichiwa !
E : Soma san konnichiwa ! Asseyez vous ? Savez vous pourquoi on vous a fait venir ici !
Y : Ai ! Le dragon cherche quelque chose et il se trouve ici !
E : C’est bien résumé, on voudrait seulement savoir où vous étiez le soir où il a attaqué le village des athosiens ?
Y : J’étais sur Atlantis, sur l’une des plateformes prés de l’océan, pratiquant le tai chi !
Ro : Oh c’est vous qui y êtes tous les soirs, votre méthode à l’air un peu lente !
E souriante : C’est normal Ronon, c’est un art pour méditer et même si on pratique des geste très lent, ceux-ci font travailler presque tous les muscles du corps.
Y : Cet art est très relaxant !
E : Merci Soma san, je vais vous laisser travailler !
Y : Weir san, le Dc kavanagh était absent ce soir là ?
E : Comment ça absent ?
Y : Euh … vouvouvou… demandez le lui !

Avant même qu’Elisabeth ait pu répondre, Yoko courut à la porte, mais se heurta à quelqu’un.

Y : Rodnay san !
R : Excusez moi Yoko, je ne vous ai pas vu ! Est-ce que ça va ?
Y : Ai ! Je dois partir !

R : Un problème avec Yoko ?
E : C’est bien la première fois que je vous entends appeler un autre scientifique par son prénom !
R : Oui, mais ce n’est pas pareil avec Yoko, elle m’aide beaucoup avec Olaria, comme je suis devenu père, maintenant, je n’ai plus beaucoup de temps pour faire des expériences. Grâce à elle, je peux m’occuper d’Olaria, lorsque quelque chose ne va pas, et pour la remercier, je l’invite à dîner à chaque fois ! Euh je voulez dire que …
E : Ne vous inquiétez pas, on gardera ça secret !
R : Merci Elisabeth ! Je voulais savoir si je peux emmener Olaria et Yoko sur le continent pour deux trois jours ?
E : Oui bien sur, avec joie ! Ronon pouvez vous appeler le Dc Kavanagh ?
Ro : J’ai l’impression que celui-ci à profaner des menaces, sur le Dc Soma !
E signe de se taire : Ronon !
R : QUOI ! Mais de quel droit ose t il faire ça !! Je vais aller lui dire deux mots à celui-ci !!
E : On n’en est pas sur Rodnay, elle nous a juste dit que le Dc Kavanagh était absent, le jour où cette créature a attaqué la première fois !
R : Mais …
E : RODNAY !! Rejoignait Yoko et rester avec elle, c’est tout ce que vous pouvez faire, d’accord !
R : Vous avez raison !

Ro : Désoler Elisabeth, j’aurais du attendre qu’il soit sortit !
E : Ce n’est pas grave Ronon, de toute façon c’est mieux ainsi ! Dc Kavanagh asseyez vous !
K : Dc Weir, j’ai beaucoup de travail à faire et …
E : ASSEYEZ VOUS !!

Le Dc Kavanagh regarda en direction du runner et s’assit en repensant aux tortures qu’il avait pu subir face à cette armoire à glace, et ne voulait surtout pas retenter cette aventure. Il pensa que le Colonel Sheppard devait avoir deviner, et qu’il avait du insister pour que Ronon soit avec Elisabeth pendant les entretiens, sachant pertinemment qu’il ne ferait rien !

E : Nous voudrions, seulement savoir où vous étiez, il y a quatre jours, j’ai appris que vous étiez absent, alors que ce n’était pas prévu ?!
K : Je suis désolé, mais c’est du domaine privé !
E : Pour le moment, nous, nous faisons attaquer par un dragon, car il recherche quelque chose qu’on lui aurait dérobé, donc soit vous me dîtes, où, vous étiez, soit je laisse Ronon s’occupait de vous !
K : Je vois que le Colonel a pensé à tout ! Bien, je n’ai pas le choix, si vous voulez savoir, je suis partit en jumper, avec un soldat sous l’océan, car j’avais remarqué quelque chose !
E : Peut on savoir qui est ce soldat ?!
K : Le sergent Hiro !
E : Merci, vous pouvez partir ! (Se tourne vers Ronon) Je ne crois pas que ce soit un scientifique, je vais devoir interroger tout le monde !
Ro : Allez au plus simple, demander seulement ceux qui sont sortit d’atlantis se soir là ?
E : J’ai une meilleure idée, vous avez dit que pour atteindre les montagnes, seul un jumper pouvait y parvenir rapidement ?
Ro : C’est exact !
E : Chaque sortit de jumper doit être noté, l’heure du départ, l’heure d’arriver et la destination, il nous suffit de regarder les dernières enregistrements ! Et nous pouvons le faire de mon bureau !
Ro : Bien joué !
E : Merci ! Alors voyons cela ! Le seul qui correspond est …. Le chef cuistot !!!!!!
Ro : Vous plaisantez ?!
E : Non, enfin faut voir s’il dit vrai ! Sergent appeler le chef cuistot s’il vous plait !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:48

Quelques minutes plus tard, le cuistot entra dans le bureau d’Elisabeth.

E : Sergent Lyes, asseyez vous !
L : Je vais passer en cours martiale ?
E : Non, seulement nous dire ce qui vous a pris de prendre un objet, appartenant à une créature aussi dangereuse !!
L : Je ne savais pas ! Je voulais faire un plat différent et je pensais que dans ses montagnes, je trouverais des ingrédients, j’ai trouvé les œufs dans une caverne, ils étaient telment énorme, je n’ai pu résister à en prendre un ! Mais la coquille de celui-ci est incassable ! Je voulais allez le rendre lorsque vous m’avez fait appeler !
E : Très bien, merci d’avoir était franc, allez le chercher et donner le moi !
Ro : Elisabeth, ce n’est pas prudent de le garder avec toi ?!
E : Oui je sais mais John ne vas tarde à revenir !

John était partit sur le continent voir comment la petite troupe se débrouillait, mais tout se passait bien, alors il repartit rejoindre Elisabeth. Il entra dans son bureau, tous ces amis étaient présents devant un truc rond de couleurs brun.

J : bonjour tout le monde, quoi de neuf ?
E : John, nous avons trouvé l’objet, je devrais dire plutôt sa progéniture !
J : Pardon !!!
R : Le cuistot a voulu faire un nouveau plat, et … mais vous n’avez pas vu d’autres œuf avec Ronon ?
Ro : Non, elle a du les mettre en sûreté, avant de partir à la recherche de celui-ci !
J : Très intelligent !
E : Daniel allait nous faire un exposé sur ce qu’il a put trouver sur cette créature !

John, se déplaça pour se mettre derrière sa femme, posant ses main sur le ventre de celle-ci, Ronon fit de même, quant à Vala, elle était assise sur une des jambes de Daniel pour lui laisser le champ libre. Ce qui surpris celui-ci, car elle n’avait pas râler, ou insiste pour faire quoi que se soit, mais resta silencieuse et sage comme une image. Le fait d’avoir faillit perdre la vie, ainsi que celle de sa fille, l’avait beaucoup calmé, même un peu trop à son goût.
D : A lui seul, il représente les quatre éléments de la tradition occidentale : l’eau, l’air, la terre et le feu ! Il est considéré comme un animal aquatique, terrestre et céleste à la fois, représentant le bien et le mal suivant les peuples, doté de pouvoir magique équivalant à la magie de l’eau, de la terre et de la nature.
T : Vous voulez dire qu’il serait capable de déclencher une tempête, ou un raz de marée ?
D : En gros oui ! Mais c’est en extrême orient qu’il est le plus présent, symbole du bien ! En chine il représente le yang, est utilisé comme motif pour chasser les démons. Au japon, il est le dieu de la pluie, il fait aussi office d’emblème de l’empereur, par sa puissance et ses fonctions royales, qu’il impose telle que la fertilité et le rythme des vies.
Ro : Ils ont l’air d’être beaucoup apprécier sur votre planète ?!
V : Pas forcément, il y a beaucoup de contes qui font mention d’un combat, qui prouverait la loyauté, le courage et la force des chevaliers !
D : Vala à raison, en plus selon la couleur et la race, le degré d’agressivité diffère ! Niveau couleur, il y a les bleus variant entre l’argent et le nacré, les rouges entre le cuivré au noir intense et les verts entre l’or au jaune ! Les races des dragons de terre : le plus pacifique est le dragon vert, aide volontairement les humains partageant sa magie avec les êtres pur. Le dragon brun est le plus commun, mais le moins intelligent sans caractérisation exceptionnelle. Le dragon blanc est le plus rare, né dans les territoires glacés, il projette une brume glaçante et vie dans les lacs ou rivières, vole rarement. Et celui qui nous intéresse apparemment est le dragon noir, sans aucun doute le plus agressif, possédant d’énorme pouvoir, crache du feu et une fumée toxique.
J : D’après mon souvenir, celui qui nous attaque est bien noir, qui plus est une femelle ! On n’a pas de chance sur ce coup là !
R : Vous êtes sur de la couleur ?!
J : Oui !
Ro : Pareil pour moi !
E : Les gars, laisser Daniel finir s’il vous plait !
D : Merci Elisabeth ! Les races de dragons d’eau : le petit dragon bleu que j’ai cité tout à l’heure. Le grand dragon bleu équivaut sur terre au légendaire léviatant, c’est aussi le plus violent et provoque des raz de marée. Et vient ensuite le dragon d’azur, c’est le plus rare, le dernier fut aperçu en Ecosse, il s’agirait, du monstre du loch ness.
R : Vous rigolez là ?!
J : Je ne crois pas Rodnay ! Et Kavanagh a dit qu’il avait trouvé quelque chose de bizarre qui se trouve sous l’océan et j’espère que ce n’est pas ça !
T : En tout cas si c’est lui, il ne sait pas manifesté, et il a du apprécier la tempête d’y il y a trois ans !
D : Il n’y a pas de volcan ici ?
E : Non pas que je sache ! Pourquoi ?
D : Car sinon vous risquez d’avoir des dragons de feu : le petit feu follet, on a aucun ouvrages sur celui-ci. Le sicilien se trouve seulement dans des cratères d’un volcan et le dernier l’escouflenfler pourpre, qui est le plus grand et le plus puissant de tous, mais heureusement pour nous il supporte une température entre 80 et 400°C. il ne vit que prés des volcans actif et se nourrissent de pierre contenant du soufre et boit de la lave ! En tout cas, ils vivent selon une hiérarchique simple ! Chaque famille à un mâle dominant, décidant à qu’elle moment ses filles peuvent partir s’accoupler, ses fils doivent le protéger et apprendre la vie d’un dragon mâle. Les femelles sont rares donc ont des traitements de faveur de la part de tous les dragons, elles sont aussi plus agressives, experte en magie pouvant se transformer en femme humaine de très grandes beautés. Les femelles couvent leurs œufs, mais les mâles les remplacent de temps en temps et si par malheur ils ne s’occupent pas des œufs, il sera tué sur le champ !
J : Sympas, vaut mieux être un dragon solitaire !
D : En un sens oui !
E : Je sais que vous n’allez pas être d’accord, mais nous y allons tous, pour une mission !
J, Ro, R, C &D : COMMENT !!!!!!!!
E : Je sais que vous allez dire que dans notre état, on ne peut pas y aller, que ça sera trop dangereux … etc. Mais si il y a une civilisation, je veux être là pour négocier un traiter !
T : Moi je sais encore manier les bâtons, malgré ce que vous pensez !
V : Je ne veux pas rester seule.
D : Et tu as envie de t’amuser, tu te retiens depuis l’autre jours et tu as le droit de le dire !

Pour seule réponse, Daniel reçu un baiser tendre et passionné, devant tout le monde. Il resta figé sur place un instant, car Vala ne l’avait jamais embrassé de cette manière. John savait que de toute façon, elle viendrait et aurait le dernier mot, donc se résigna à la laisser venir. Ronon ne dit rien, mais on voyait qu’il était tendu à l’idée que Teyla vienne avec eux. Ils prirent tous congé pour se préparer à cette mission un peu spécial et surtout prendre du repos. Carson prépara tout ce u’il fallait pour soigner les blessés, ou si ces têtes de mules accoucheraient en avance, ce qu’il n’espérait pas.

Elisabeth était dans la salle de bain, prenant une douche bien chaude pour se détendre avant d’aller se coucher. John arriva, après avoir préparer quelques affaires, l’embrassant dans le cou.

E : Tu ne m’en veux pas de venir ?!
J : Non, et puis tu as raison, si nous rencontrons des gens, tu seras la plus apte à parler avec eux ! Je préfère t’avoir sous la main, pour te protéger !
E : Ronon ne vas surment pas aimer que Teyla vienne ?!
J : Ne t’inquiète pas, elle sera du voyage, il ne pourra pas refuser ! Et puis il y aura Vala, Daniel a bien vu qu’elle avait envie d’y aller, je crois qu’il est comme moi, il préfère l’avoir sous les yeux.
E : On devrait peut être sortir, j’ai mal au dos, c’est qu’il commence à être lourd, ses petits bouts.




Ils sortirent de la douche, John l’enferma dans une grande serviette de plage, et la porta pour la poser sur le lit. Elle fut surprise, mais se laissa faire, étant donné que le printemps arrivait, les températures augmentaient au fur et à mesure des journées. C’est nu sous les couvertures qu’ils s’endormirent. Le lendemain matin, la troupe fut prête à partir, et montèrent tous dans un seule jumper, pour éviter de faire peur au éventuels autochtones. Le temps était super, un superbe ciel bleu sans nuage et un soleil des plus brillant, le jumper monta un peu plus haut et se dirigea droit vers les montagnes. Lorsqu’ils arrivèrent au dessus de celles-ci, une magnifique chaîne de montagne enneigée, de neige éternelle, se dévoila devant leurs yeux. Plus loin, vers le bas, une immense forêt recouvrait la plus grande partit du nouveau territoire, ils se posèrent dans celle-ci, au pied des montagnes. Une crevasse avait été trouvé, assez grande pour accueillir le jumper et construire un petit camps, et surtout pour se mettre à l’abri de la pluie ou d’une quelconque créature.
Un peu plus loin des yeux d’un bleu intense, vitreux, et luisant les observaient attentivement. Il s’en alla après quelques minutes, sans bruits dans un silence le plus complet, les animaux aux alentours s’étaient tus, sauf un. S’approchant du camp des atlantes, le regard fixant le feu qu’ils avaient allumé.

J : Vous étiez obligé d’emmener Olaria avec vous Rodnay ?
R : Désoler John, mais elle ne veut pas rester sur atlantis si je n’étais pas là, et j’ai demandé à Yoko si elle pouvait venir avec nous, Elisabeth a accepté, et vous alors, vous n’avez même pas essayer de l’en dissuader ?!
J : Moi non plus ça ne me fait pas plaisir, qu’elles soient là, mais on n’a pas le choix !
Ro : John a raison, moi j’ai essayer et ça c’est finis en dispute !
R : Désoler Ronon, ça c’est arranger au moins ?
Ro : Oui, ce matin avant de partir !
J : Voilà pourquoi je n’ai pas insister, sur le fait qu’elles devraient rester sur atlantis, je ne voulais pas me disputer avec Elisabeth.
O : Papa ! Ballade Yoko et tantes ?
R : Je viens avec vous !
O : Nan filles !
R : Tu diras à tes tantes jusqu’à la rivière et pas plus loin, ok ?!
O : Voui !
J : On dirait qu’elles veulent vraiment nous montrer qu’on les pouponne un peu trop !
Ro : Oui, elles veulent prouver quelque chose !
D : Je ne crois pas, c’est que rester enfermé sur atlantis devait leur peser !
C : Et puis on leur donne l’impression qu’elles ne sont utiles à rien, car elles sont enceintes, donc qu’elles sont fragile, et c’est ça qui énerve !
J : Chouette, on va les laisser quelques minutes entre elles, et puis on ira les chercher pour le repas !


Du côté de la rivière, les filles avaient les pieds dans l’eau, et s’amusaient à s’éclabousser. Enfin un peu de calme, sans les disputes incessantes entre Rodnay et John, et puis cela faisait un moment qu’elles ne s’étaient retrouvées seules.

E : Depuis combien de temps, aidez vous Rodnay ?!
Y : Depuis trois semaines, maintenant ! Je sais que Rodnay n’est pas très bavard, mais c’est quelqu’un de vraiment unique !
T : Nous le savons, même si il ne veut pas nous le montrer, il a un énorme cœur !
Y : Oui, mon grand père dirait que la générosité est une attitude d’empressement à donner, sans la moindre retenue, vos propres possessions, votre corps, vos vertus. La perfection de la générosité ne réside pas dans le fait de chasser la pauvreté de tous les êtres vivants ; c’est le développement ultime d’une attitude généreuse.
E : Vous êtes japonaise n’est ce pas ?
Y : Oui, je suis né dans la région d’Okinawa, mais mes parents ont du travailler aux états unis, lorsque j’ai atteins mes 10 ans et depuis je n’y suis pas retourné.
V : Votre pays doit vous manquez ?
Y : Les plages d’Okinawa, oui ! Mais les anciennes traditions se perdent !
T : Mais pourquoi ?! Les traditions ce sont ce qui fait qu’un peuple est différent d’un autre !
Y : La mentalité des gens changes, certains continue à croire aux anciennes croyances, mais la mode européenne prend le dessus !
E : C’est vrai que c’est dommage, car je sais que le peuple japonais est l’un des plus respectueux de l’être humain. J’ai fait plusieurs voyages, ou même vacances et je suis toujours impressionné par les paysages que l’on peut voir ! Mais surtout par les geishas !
Y : Lorsque j’habitais là bas, j’ai fréquenté une école de geisha, mais j’ai du arrêter.
V : Qu’est ce qu’une geisha ?
Y : Une femme d’une très grande beauté, invité à toutes les manifestations organisées, pour divertir, et tenir compagnie à des hommes d’affaires.
T : Elle est une esclave ?
Y : Non pas forcément, mais être une geisha est la meilleure situation, elles doivent être cultivées, jouer des instruments, chanter, danser, raconter des poèmes ou des histoires et savoir servir le thé.
V : Elles doivent savoir faire tout ça ?!
E : Oui, mais elles sont aussi très appréciées, elles ont les plus beaux kimonos, ainsi que les bijoux et les ornements pour cheveux. Si je trouve des photos, je vous les montrerais !
T&V : Merci !!
Y : On devrait retourner au camp, la nuit ne va pas tarder !

Elles s’en allèrent, sans savoir qu’un animal de petite taille les suivait. De couleur verte pomme pastel, un corps long et très fin, des ailes d’une transparence quasi-total, brillant de différentes couleurs selon la luminosité. Deux grandes antennes finissaient le haut de la tête, il avait de tout petits yeux bleus, les pattes arrière formaient trois gros doigts puissants, tandis que les deux de devant des doigts fin et fragile. Il s’agrippa à une des roches se trouvant au dessus du camp, ses yeux se voilèrent pour s’adapter à la pénombre et devinrent rouge sang. Sans un bruit, il s’approcha de plus en plus du barbecue, que Rodnay avait emmené, ainsi que plusieurs assortiment pour se faire un repas de chef. La créature renifla l’air en se léchant les babines, les chipolatas qui grillaient, ainsi que de magnifique brochette de dinde lui chatouillaient les narines et avaient réveillé son estomac. Ayant le pouvoir de se camoufler, son corps avait pris la couleur des roches et fut à quelques pas de son futur repas, encore quelques centimètres et il tendit un de ses bras, attrapa une des chipos et remonta un peu plus haut, pour la manger tranquillement.
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:49

J : Rodnay ! Tu n’as pas pu attendre que ça soit prés avant d’en piquer une !!
R : Mais j’ai rien fait cette fois, et de toute manière je ne mange pas des saucisses à peine cuite !
J : Oui, c’est pour ça qu’il en manque une sur le grille ?
R : Je te dis que ce n’est pas moi ! En plus je n’étais pas à côté du barbecue !
Ro : John, il a raison, il était prés du jumper entrain d’installer un lit pour Olaria !
J : Alors la question est, qui a piqué la saucisse ?
E : Qu’est ce qui se passe ici ?
Ro : John peste parce qu’une saucisse a disparu !
R : Et il m’accuse de l’avoir mangé !
J : Je ne t’ai pas accusé, je l’ai confirmé !
R : Mais je te dis qu……
E : Au lieu de vous disputer comme des enfants de trois ans, regarder qui est notre voleur, il est plutôt mignon !

Ils se retournèrent et virent notre petit dragon vert au dessus du barbecue, avec une des saucisses à la main. La créature se figea sur place, le regard droit vers eux, émettant des sons, comme ceux d’un cacatoès. John essaya tant bien que mal à récupérer la saucisse, mais le dragon était beaucoup plus rapide.

J : Rend moi ça, espèce de lézard volant !
Ro : Il est beaucoup trop rapide pour toi John !
J : Au lieu de vous moquez, aidez moi !
Ro : Ce ne sera pas drôle, si je t’aide !
R : Ronon a raison, c’est à en mourir de rire, de te voir courir après !
J : Très drôle !

Le dragon s’arrêta sur le toit du jumper, Olaria sortit à ce moment là pour dire bonsoir, celui-ci sauta sur sa tête. Il fixa son regard au sien et lui proposa la saucisse, elle lui prit le bout de viande et le remercia avec un sourire. Il frotta sa petite tête contre sa joue, Olaria s’approcha de John et lui rendit la saucisse, il fut surpris que le dragon lui est obéis.

J : Comment as t’elle fait ?
R : Olaria n’est pas ma fille pour rien !
J : Oh toi là ferme !
E : John !!!
D : Qu’est ce qui se passe ?
T : Nous avons un invité de dernière minute, il a essayait de nous voler notre repas !
V : Un compatriote !
D : Vala !!!
V : Ce que tu peux être rabat joie !
Y : C’est un petit dragon vert !

Daniel s’en approcha et voulu le toucher du doigt, mais il reçu une morsure, à la place, Carson désinfecta la plaie, car même si, il est tout petit, ses dents et sa mâchoire sont aussi puissante qu’un piranhas, et puis on ne sait pas quel microbe, il pouvait transmettre. Soudain l’animal se mit à trembler, poussant des cris plaintifs.

V : On dirait que tu lui fait peur mon chéri !
Ro : Je ne crois pas que ce soit ça !
J : Moi non plus, Rodnay, Carson, emmener les au fond de la grotte, on va aller voir !

A peine avaient ils fait un pas, que la terre se mit à trembler, un cri effroyable se fit entendre, Ronon se jeta sur John. Lorsqu’ils levèrent les yeux, des griffes gigantesques gratter le sol, afin de pouvoir avoir un meilleur accès !

D : L’œuf ! Nous avons encore l’œuf, il faut lui donner l’œuf !
J : Ok je m’en charge, mais il va falloir me couvrir !
Ro : Pas de problème !

John fonça dans le jumper, pris l’œuf et le fit rouler, jusqu’à l’entrer de la crevasse ! La dragonne renifla celui-ci, puis, l’emprisonna entre ses dents et s’envola, laissant la troupe sous le choc !

J : On a été un peu inconscient sur ce coup là !
E : Un peu ! Tu plaisante là j’espère !
D : Ne le blâmer pas, personnes n’a pensé à l’œuf, et puis grâce au petit dragon, on a su qu’elle arrivait !
R : Oui, c’est vrai !
O : Papa, garde ?
R : Euh, il a peu être de la famille ici et puis sur atlantis, il va s’ennuyait !
O : Te plait !!!
Dragon : IIiiiiiiiiiihhhhhhhh !
R : Bon d’accord, je crois que de tout façon, je n’aurai pas eu le choix !
J : En tout cas, on a un problème ! L’attaque de madame, à esquinter le jumper, j’espère qu’il y a une ville pas loin et qu’ils pourront nous aider !
E : Peut on transmettre jusqu’à atlantis ?
R : heureusement oui, je viens de leur dire qu’on doit réparer le jumper, donc je pense que l’on peut essayer de trouver un village ! Mais si nous ne trouverions rien d’ici trois jours, ils viendront nous chercher !
E : Très bien, merci Rodnay !

Ils s’endormirent tous d’un sommeil lourd, l’aventure du petit dragon voleur de saucisse et celle de la mère dragonne en colère les avaient bien fatigué. Le lendemain matin, le soleil s’était levé, une brume légère s’éparpillait dans cette forêt, les oiseaux chantaient et réveilla l’invité du soir. Il poussa un hurlement qui fit sursauter tout le monde, en tout cas pour faire taire le vacarme ça marche, puis se blottis contre Olaria et se rendormit.

J : Faîte moi penser à lui fermer le bec se soir à bout de ficelle !
E : John ferme là ! Il est comme toi, il n’est pas du matin !
J : Oui mais, crier n’est pas une raison !
E : Et toi tu fais quoi en ce moment ?
Ro : Il n’est pas comme ça, lorsque nous dormons en mission ?
T : c’est parce qu’il n’a pas quelque chose à côté de lui avec qui, il peut faire des câlins !
E : Teyla !!!
T : C’est la vérité !
J : Peut être, mais faut pas le crier sur tous les toit !
R : vous avez pas bientôt finis, Olaria dort encore elle !!
J : Pardon Rodnay ! Où est Yoko ?
R : Partit chercher le petit déjeuner, elle est debout depuis deux bonnes heures !
Y : Vous avez faim ?
R : Déjà de retour ?!
Y : Oui, j’ai trouvé des fruits, du miel, et des noix de coco, la plupart des arbres fruitiers sont les même que sur terre !
E : Comment avez-vous fait pour prendre du miel sans que les abeilles, ne vous attaque ?!
Y : Une vieille technique secrète, révéler de génération en génération et de mère en fille dans ma famille, je suis désolée mais je ne puis vous la révéler !
T : Un secret de famille doit le rester, on ne vous demandera rien !
Y : Vu que je ne sais pas se que mange notre invité, je lui ai attrapé quelques insectes !
R : Tu m’étonneras toujours Yoko !

Olaria se leva, une demi heure plus tard, cherchant son nouvel ami. Elle le trouva au côté de Yoko, qui lui présenta ses petites friandises, et avait plutôt l’air de les apprécier. Elle embrassa son père et fit de même avec tous les personnes pour leur dire bonjour et s’assit à côté de, se qu’elle espérait, sa nouvelle maman. Elle mangea quelques fruits, et bu du lait de coco, ça ne valait pas un vrai petit déjeuner mais ils s’en contenteraient. Après quelques heures, la petite troupe fut prête à partir à la recherche d’une ville ou d’un village, la forêt était immense, mais le petit dragon vert, surnommer Piker par John, avançait devant eux, comme s’il connaissait le chemin. Lorsqu’il voyait la troupe loin de lui, il s’arrêtait pour les attendre et repartait devant.

J : Où est ce qu’il nous emmène celui la ? Et puis, pourquoi on le suit d’abord ?
E : Parce qu’il est le seul à savoir où il va !
D : Désoler de vous interrompre, mais Vala à besoin de se reposer !
C : Il en sera de même pour vous deux !
T&E : Mais …
C : Y a pas de mais, on se repose au minimum une heure !

Piker vint se poser sur une branche d’un sapin, et chassa les moucherons qui s’y trouvaient. Chacun se reposa à sa manière, Yoko et Rodnay discutaient ensembles, un peu à l’écart des autres, les trois femmes dormaient dans les bras de leur hommes, heureusement que Carson avait insisté pour qu’elles se reposent, finalement lui en profita pour regarder et noter le comportement de Piker, ses caractéristiques et la manière de comprendre ce qu’on lui dit, ou de communiquer avec Olaria. L’heure passa très vite, Piker se remit en tête et continua son chemin, ils restèrent silencieux, jusqu’au moment où une jeune fille au long, très long cheveux blond virant sur l’or, apparu devant eux. Des yeux marron, une peau mate, habillait d’une simple petite robe blanche avec des bottes de la même couleur montant jusqu’au genoux, elle s’avança vers eux, Piker sauta sur elle, le caressant et lui parlant dans un langage inconnu. Elisabeth fut la première à parler.

E : Bonjour, je m’appelle Elisabeth Weir, nous venons de la cité d’atlantis, est ce que vous connaissez ?
Z : Je m’appelle Zohra, je suis la reine des fées, et oui nous connaissons l’existence d’atlantis, mais je croyais qu’elle était sous l’océan ?
E : Elle a refait surface, lorsque nous sommes arrivés !
Z tournant la tête vers Ronon et Teyla : Vous êtes différents, un satedien et une athosienne, des terriens et je ne connais pas votre planète ?
V : Il y en a telment dans les différents systèmes !
Z : C’est vrai ! Que faites vous ici ?
R : Un idiot a pris un œuf de la dragonne qui garde les montagnes, et nous lui avons redonné, mais elle a abîmé notre jumper !
Z : Que pouvons nous faire ?
D : Juste savoir si on pouvez dormir dans votre village, et trouver de quoi réparer notre jumper !
Z : Pour votre vaisseau, je crains que nous ne pouvons pas vous aider, mais vous pouvez rester dormir jusqu’à ce qu’on vienne vous chercher !
E : Merci beaucoup Zohra !
Zohra partit devant, la petite Olaria, s’approcha d’elle pour se mettre à sa hauteur. Piker sauta sur son épaule et s’agrippa à son T-shirt.

Z (Tu dois avoir un cœur pur, pour que ce petit dragon vert des forêts soit devenu ton ami)
O (On peut parler par la pensée ?)
Z sourit (Oui, les fées ont se pouvoir, tu n’a pas l’air d’être très bavarde ?)
O (Je sais, j’ai arrêter de parler lorsque j’ai perdu mes parents !)
Z (C’est deux personnes, ne sont pas tes parents ?)
O (Non, Rodnay est mon nouveau papa, et Yoko j’espère bientôt ma nouvelle maman !)
Z (Nous pouvons t’aider si tu veux ?)
O (C’est vrai ! Merci, je sais que papa est très attiré par lui, mais Yoko je sais pas)
Z (Je pense que si, il faut juste donne un coup de main au destin)
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:50

D : Excusez moi Zohra, puis je vous poser une question ?
Z : Oui
D : Avez-vous connu les wairths ?
Z : Oui, nous les connaissons ! Nous les avons vu, mais notre monde n’est pas fait pour eux, nous communiquons avec les animaux par la penser, nous possédons des pouvoirs et pratiquons la magie, ils ont peur de nous !
E : Pourtant cela ne les a pas empêchés d’attaquer atlantis deux fois !
Z : Nous le savons, je vous demande pardon si nous ne sommes pas intervenu, mais c’est une règle qui a été instauré il y a plus de 100 000 ans !
J : Nous ne vous en voulons pas, ce n’est pas votre faute, c’est nous qui les ont réveillés !
Z : Vous culpabilisez, vous ne devriez pas, connaissez vous le bouddhisme ?
D : Oui assez bien ! Pourquoi ?
Z : Le sage qui vit ici, nous enseigne plusieurs paroles qui viennent de son maître ! Se considérer comme supérieur aux autres, c’est être soi-même son pire ennemi et aller droit à la ruine. Le mal, la peur et la souffrance qui règnent dans ce monde ont une même origine : l’attachement au « moi » !
D : Celui qui adopte une attitude humble voit ses qualités se renforcer. Celui qui est fier devient jaloux des autres et se fâche avec eux. Il s’ensuit une grande tristesse dans notre société !
Ro : Alors Rodnay est jaloux ! Il se fâche tout le temps contre n’importe qui !
R : Ce n’est pas vrai !
J : Rodnay tu nous rappelles sans cesse, que tu es plus intelligent que n’importe qui ! Avoue le !
Z : De la conception jusqu’à la mort, notre vie dépend des autres. Il est important de comprendre combien les autres êtres sensibles nous sont précieux et utiles. Dés l’instant où l’on en prend conscience, notre attitude négative envers eux commence à changer.
R : J’ai rien compris ! Mais je crois que je dois dire merci !
Z : nous voilà arrivé !

Devant eux, il n’y avait pas de palais, pas de village comme ils en avaient déjà tous vu, mais celui-ci était différent. Les maisons, enfin si on pouvait appeler ça comme ça, étaient rondes, de différentes tailles selon les familles, se camouflant parfaitement avec les arbres gigantesques qui servaient de piliers. Au sol, se trouvait une rivière, d’une eau cristalline et d’un bleu incomparable, de magnifiques licornes buvaient et brouter l’herbe qui s’y trouvait, la troupe fut émerveillée par ce spectacle. D’autres fées, plus belles les une des autres, arrivèrent et les accueillirent avec des sourires et des colliers de fleurs, des orchidées ! Chacune de couleurs différentes, certaines inconnues aux terriens.

Z : Je vais vous montrez où vous allez dormir, chacun aura un cocon ! Je suis désolée, mais Olaria, sera avec moi, j’ai assez de place pour elle !
O (Merci Zohra)

Bien évidemment, comme elles avaient prévu, Yoko et Rodnay furent mis ensemble, dans la même hutte, Carson fut le seul à avoir une hutte personnelle. Rodnay vira au rouge pivoine, tandis que Yoko resta zen, le soir venu un festin fut organisé en leur honneur, John avait été reconnu comme faisant partit de la race des anciens, grâce a son gène, et donc eu le respect de toutes les fées ! Après le dîner, chacun partirent dans leur maisonnettes, sauf celles qui vivent la nuit, ces fées là brillèrent de mille feux lorsque les rayons de la lune apparurent, tels des lucioles, les licornes partirent laissant la place à d’admirable tigres, d’un blanc éclatant, au yeux d’un bleu transparent presque translucide comme l’eau des montagnes.

E : Il est magnifique !
J : Pas autant que toi !
E : Regarde ça puissance, son allure fière, son assurance, cet animal m’a toujours impressionné, même si celui-ci et différent !
J : Je l’avoue, il fait impression, surtout d’en voir un de si prés !

T : Merci d’avoir accepté que je vienne sur cette mission !
Ro : J’aurai pu t’en empêcher, mais vu que Elisabeth et Vala y allaient, je me suis dis que, comme John, je préférais t’avoir sous la main !
T : Merci !

D : C’est incroyable, les légendes et les contes qui existent sur terre sont donc vrais ! Vala est ce que ça va ?
V : Fatigué !
D : Je n’aurai peut être pas du t’emmener, marcher comme ça, alors que tu as faillit mourir avec notre fille, je suis stupide par moment !
V : Non, tu es formidable, c’est vrai que ça m’a épuisé, mais je préfère rester prés de toi ! Elle bouge, c’est bon signe ! En tout cas, elle n’est jamais du même côté !
Z : Bonsoir, vous êtes bien installé ?
D : Oui merci Zohra !

R : Euh Yoko, je vous laisse le lit !
Y : Pourquoi, il y a assez de place pour nous deux, vous allez avoir mal au dos demain ?
R : Ce serait plus convenable, je pense …
Y : Ne dîtes pas de bêtises ! Allez venez, je vous fais un massage pour vous détendre !
R : Très bien ! Merci de m’aider avec Olaria, j’apprécie beaucoup !
Y : C’est une adorable petite fille, vous en avez de la chance, la maman devait être très jolie, pour qu’elle ait de si beaux yeux ?
R : Olaria est ma fille adoptive, je l’élève seul, moi qui ai toujours dit que je détestais les enfants, mais Olaria est différente.
Y : Vous savez, les autres scientifiques disent que vous avez changé, vous êtes moins orgueilleux !
R : C’est vrai ? Et vous Yoko, que pensez vous ?

Elle se plaça devant lui pour lui faire face, plongeant ses yeux noirs, dans le bleu des siens.

Y : Je vous ai toujours connu avec Olaria, donc le passé et le passé, je ne veux pas savoir comment vous étiez avant, je vous connais maintenant, et ce que je sais, c’est que je n’ai jamais vu un homme aussi gentils et adorables que vous !
R : Vous pensez vraiment ce que vous dîtes !
Y : Vous savez …
R : On peut se tutoyer je crois maintenant, enfin si cela ne te dérange pas ?
Y : tu sais mon arrière grand père disait toujours que « nous ne devons pas oublier que même chez l’être humain le plus perverti et le plus cruel, une infime parcelle d’amour et de compassion subsiste, qui un jour fera de lui un bouddha. » et il n’a pas tord !
R : Qu’est ce que ça signifie ?
Y : Que malgré tes défauts, tu as au plus profond de toi, une énorme gentillesse mais que tu ne la montre qu’en de rare occasion, et je trouve ça dommage. Et tu ne le montres aussi que lorsque tu es seul avec moi, alors que tu pourrais te faire plein d’amis !
R : J’ai les meilleurs amis du monde déjà !
Y : Oui mais tu ne leur montre pas, tu te disputes avec John, pour éviter de lui montrer, tu es distant avec les autres pour la même chose, tu as peur de quoi ?
R : Comment as-tu fait pour lire en moi comme ça, pour avoir trouvé tant de choses sur moi !
Y : Je ne suis pas anthropologue pour rien, je sais observer, et comprendre !

En discutant, ils s’étaient approchés radicalement l’un vers l’autre, sans s’en rendre compte. Rodnay ne pouvait décrocher son regard du siens, hypnotisé même paralysé, mais il ne savait pas pourquoi, mais il devait le faire, allait elle le giflé, le repousser où même s’enfuir. Ce serait plutôt lui qui allait s’enfuir, mais là impossible de bouger le moindre muscles, en un instant ne comprenant pas se qu’il lui prenait, il embrassa Yoko, goûtant ainsi à ses lèvres, douces, très douces ! Il recula, et allait prendre la fuite, lorsqu’il sentit sa main le retenir.

R : Pardon, je n’aurai jamais du faire ça !
Y : Pourquoi ?

Il avait l’air vraiment paniqué, comme si ce qu’il avait enfin osé faire, était passible de peine de mort.

R : Je suis un animal, j’ai succombé à mes pulsions bestiales, je suis désolé !
Y : Avez-vous peur des sentiments que vous avez envers moi ?
R : …euh … je… non… oui…enfin… !

Elle s’approcha de lui, posa ses mains sur ses bras, et l’embrassa à son tour, un baiser d’une tendresse, tels qu’il n’avait jamais connue, au bout de quelques secondes, sa main gauche monta pour caresser le visage de cette femme extraordinaire.
Sa main droite sur ses hanches, celles de sa compagne vint se positionner derrière le cou de celui-ci, leur baiser s’intensifia, ils se séparèrent un instant pour reprendre leur souffle. Jamais il n’aurait pensé, ressentir ça un jour, n’ayant jamais eu de chance avec les femmes, il avait perdu espoir ! Dans sa tête tout était chamboulé, il resserra son étreinte, de peur qu’elle s’en aille, mais se ne fut pas le cas, elle resserra, elle aussi la sienne !

R : Ton arrière grand père n’a pas une phrase pour se que je peux ressentir ?
Y rit : Je pense m’en souvenir, mais ça risque d’être long !
R l’embrassant dans le cou : Essai pour voir !
Y : S’il y a de l’amour, il y a de l’espoir d’avoir de vraies familles, une vraie fraternité, une vraie sérénité, une vraie paix. Si l’amour a quitté … ton esprit, si tu continue à voir les autres hommes comme des ennemis, alors, quelles que soient tes connaissances … ton éducation ou ta réussite matérielle, tu n’obtiendras que souffrance et confusion. Les êtres humains continueront à se tromper et à s’affronter. .. Fondamentalement, tout le monde partage l même état de souffrance ; chercher à duper l’autre ou à le détruire est donc vain. Le fondement de toute pratique spirituelle est l’amour.
R : Il avait tout fait raison !

C’est sur cette phrase qu’ils consumèrent l’amour qu’ils avaient l’un envers l’autre, dans le silence le plus complet. Quelques fois, on crée une impression dynamique en ne disant rien ; quelques fois, on peut transmettre beaucoup de sens en restant silencieux. C’est ce qui se passa pour nous deux nouveaux amoureux, Yoko, avait déjà eut plusieurs amants, mais aucun comparable à celui-ci, doux, attentifs au moindre désir de sa partenaire, tendre, elle n’avait jamais ressentit autant de plaisir à se faire caresser de cette manière.
Le lendemain, il furent réveillés par une chose qui avait sauté sur le lit, se laissant tomber dessus en masse, Rodnay ouvrit les yeux et aperçu sa fille, avec un large sourire !

R : Olaria, on frappe avant d’entrée !

Elle se positionna entre son père et Yoko, sous les couvertures en se blottissant contre lui, elle regarda Yoko avec un sourire.

Y : Bonjour la puce !
O : Bonjour maman ! Bonjour Papa !
R : Olaria, tu aurais pu lui demande avant …
Y : Ce n’est pas grave Rodnay, je crois bien que c’est ce qu’elle espérait !
R : C’est vrai ?
O : Voui !!!

Pendant ce temps, les fées des nuits étaient revenu dormir, celles de jour se réveillèrent et commencèrent à préparer le petit déjeuner, John et Elisabeth se promenèrent le long de la rivière, avec Ronon et Teyla. Dans la hutte de Daniel et Vala, celle-ci secoua son compagnon, afin de le réveiller, à un moment elle s’arrêta et souffla énergiquement afin de soulager la douleur.

D : Vala qu’est ce qu’il y a ?
V : Je… oufoufoufouf, appelle Carson, vite je crois qu’elle arrive !
D : Quoi, mais tu en es seulement au septième mois !
V : Daniiiiieeellll !!!!
D : D’accord, je reviens souffle et respire !

C : Me voilà ! Vala depuis combien de temps depuis la dernière ?
V : Oououououf dix minutes ! Daniel !
D : Je suis là ! Je suis là !
V : Ca fait mal !!!!
C : Vala écoute moi, je suis là tout vas bien se passer !
V : Je suis en avance, je ne devrais pas accoucher maintennnnnnnaaaaaannnnntttt !
D : Souffle, souffle !
V : Dis moi encore une fois de souffler et je t’en fous une !
D : D’accord, promis !
V : On ne va pas me la prendre celle là ?
D : Non, elle restera avec nous, ne t’inquiète pas !
V : Aaaaaaaaaahhhhhhhh !!
C : Ok, lorsque je le dirai, il va falloir pousser le plus fort que tu peux ! Maintenant !
V : aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh !

L’accouchement dura un peu plus de deux heures, mais on entendit bientôt un cri de nouveau né. Une petite fille, 2 kg 800, 56 cm. Daniel embrassa Vala qui reprenait sont souffle, lorsqu’une autre contraction apparue !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:51

V : Daaaannniiieeelll !
D : Carson !!!
C : Vous en avez une deuxième Vala, je sais que vous êtes fatigués, mais il va falloir faire un effort et pousser !

Vala fit oui de la tête, elle transpirait beaucoup et avait beaucoup de mal à faire ce que le médecin lui demandait. Le deuxième fut plus long et douloureux, mais au bout de cinq heures, une deuxième petite fille vit le jour, 2 kg 900, 54 cm. Carson les nettoya puis les donna à Vala, qui s’impatientait.

C : Elles vont très bien, une question vous aviez un prénom, mais il en faut deux, alors ?
D : C’est déjà pris !
V : Je vous présente, Dana et Donia mal doran Jackson !
D : Elles sont magnifiques !

Carson sortit, pour prendre un peu de repos et rencontra le reste du groupe, qui attendait avec impatience des nouvelles de la nouvelle maman !

C : Vala va très bien, elle vient de mettre au monde deux magnifiques petites filles ! Dana et Donia !
J : Je croyais que ils avaient eu, qu’une fille !
C : Peut être, mais vous vous souvenez, lorsque Vala à faillit perdre la vie, avec celle de sa fille !
E : On l’a invité à rester sur atlantis, jusqu’à la fin de sa grossesse et on a demandé à Daniel de venir sur atlantis !
Ro : On a changé le futur, en les invitant sur atlantis ?
C : Oui, grâce à certaines machines d’origine ancienne, j’ai pu sauver Vala, donc j’ai sauvé aussi le deuxième enfant.
T : vous croyez que ça à modifier quelques choses sur nous aussi !
C : Non seulement sur eux, puisque à priori Vala aurait du perdre Dana, sur terre, le fait d’être venu su atlantis, à modifier leur futur !
J : en tout cas, tout va bien pour la maman et les deux nourrissons, alors on ne va pas se plaindre !
E : Tu as raison !


Ils restèrent dans ce village, plus de trois jours, le temps que Vala reprenne des forces, chacun profitant de ce moment de répit, comme étant de petite vacance. Mais il était temps de rentrer, la cité avait besoin de sa dirigeante, apparemment des scientifiques commandé par Kavanagh, en avait fait voir et des pas mure au Major Lornes, et il avait supplié Elisabeth de revenir ! C’est donc un matin que Zohra, appela deux grands dragons des neiges, de couleur d’un blanc pur comme la toute première couche de neiges tombées au sol ! La lumière du soleil se reflétait sur leur peau, éblouissant les yeux de chaque être vivant !

Z : Je vous présente Crista et Neige, fille du puissant dragon des neiges, Méléagre, elles vont nous ramener sur votre cité ! Pour vous, qui venez d’avoir vos filles, Jawad, vous transportera dans une anouar !
V : Qu’est ce qu’une anouar ?
Z souriant : Une bulle de cristal fin et flexible, qui vous permettra d’être plus à l’aise, et puis des nourrissons ne sont pas fait pour voler sur le dos d’un dragon quel qu’il soit !
D : Merci Zohra, pour votre accueil et pour avoir aide Carson pendant l’accouchement de Vala !
Z : C’était un plaisir !

Chacun monta sur les dragons, et s’envolèrent en direction de la cité d’atlantis, qu’ils atteignirent en moins de dix minutes, bon normalement en trois minutes ils seraient arrivés, mais Zohra avait fait durer le plaisir de faire voler ses nouveaux amis !

E : Merci Zohra pour ce merveilleux voyage, je crois que John n’est pas le seul à avoir aimer ce vol, les jumeaux bouge de plaisir !
J : Ce sont bien mes fils, y a aucun doute là-dessus ! Des futurs pilotes !
E : John, les chevilles ?
J : Elles vont bien !
R : John, je crois que ce n’était pas une question ?
J : Je sais Rodnay !
T : Ne commencez pas tous les deux, on vient à peine d’arriver !
Ro : Laisse les Teyla, ils ne changeront jamais !
Z : Désoler si je ne peux pas rester plus longtemps, mais j’ai des obligations dans notre parti du continent !
E : Je comprends, ne vous faîtes pas, passez nous voir un jour ?
Z : Mais volontiers, je viendrais avec mes filles !

La reine des fées, grimpa sur Neige et s’envola avec les deux autres. Chacun partit prendre un bon petit déjeuner, tous réunis pour la dernière fois, Daniel et Vala étaient très content d’être là, mais leur vie, était sur terre et pas sur Atlantis. Il avait été décidé qu’ils repartiraient dans trois jours, au moins pour organiser un dernier repas, car pendant ses derniers mois, tous, avaient appris à se connaître mieux, et étaient devenus une famille où chacun avait une place ! Rodnay représentait le frère un peu râleur et farfelus, Ronon celui avec qui on pouvait aller pêcher, Carson, le gâteux et protecteur, John le plus jeune toujours prêt à faire le malin, et Daniel oncle adulte qui réfléchit! Teyla la soeur qu’on admire et à qui on rêve de ressembler, Yoko, celle très spirituelle et calme, Vala serait la plus jeune en pleine crise d’adolescence, et Elisabeth celle à qui on donne toute les responsabilités, pour lui montrer qu’elle est la plus grande donc elle doit donner l’exemples !

J : Quand pars tu Daniel ?
D : Dans trois jours, le matin, il y a moins de monde à la base !
E : Vous avez tous ce qui vous faut ?
V : Oui, on doit seulement aller chercher, les berceaux offerts par les athosiens ! Merci Teyla, ton peuple est vraiment sympa !
T : Merci Vala, j’ai beaucoup de chance de les avoir ! Je ne sais pas ce que je ferai sans eux !
C : Désolé de vous déranger pendant ce repas, mais j’aimerai voir Elisabeth et Teyla, qui ont oublié leur rendez vous à l’échographie !
E : Oh désoler Carson, on arrive tout de suite !
T : J’y pensais même plus !
C : Finissez votre repas, je vous attends après !
T&E : Merci Carson !
J : Un problème ?
E : Non, mais comme nous entamons nos huit mois de grossesse et que nous somme partit en mission, il voudrait seulement voir si tout vas bien !
J : Me voilà rassurer ! Je peux venir au moins ?
E : Mais c’est un ordre Colonel, il est hors de question que tu me laisses seule !
J : Si c’est un ordre alors, je ne dois pas désobéir à ma supérieur !
R : Bon ce n’est pas que cette discussion m’embête, mais j’ai promis à Olaria et Yoko de passer toute la journée avec elles, donc je m’en vais !

Rodnay s’en alla, et chacun repartir à ses occupations, Daniel et Vala rangèrent leurs affaires, tandis que les deux autre couples partirent vers l’infirmerie !

J : Carson nous sommes là !
C : Très bien, la Reine Zohra, m’a offert un présent, et je voudrais l’essayer sur votre échographie ? Et puis se sera une surprise pour vous aussi !
Ro : Il n’y a pas de risque au moins ?
C : Non Ronon, elle ne risque rien, par contre ma machine oui, enfin Zohra m’a dit qu’il n’y aurait pas de problème ! Qui veut commencer ?!
E : Moi, j’ai encore quelques dossiers à finir, et le pauvre Major Lornes doit pendre des vacances !
J : Je vais venir t’aider ! De toute façon je n’ai pas l’intention de te laisser aujourd’hui !
C : Alors allons y !

Le médecin plaça le petit cristal sur le sommet de la machine, et appuya sur le bouton on de celle-ci pou l’allumer ! Carson était soulagé, sa machine tenait le coup et n’avait pas grillée, Elisabeth s’allongea sur le lit et releva sa veste, pour laisser voir un ventre bien rond !
E : Je suis une baleine, c’est horrible !
J : Tu n’es pas une baleine, mais enceinte de jumeaux donc une magnifique femme !
E : A tes yeux, mon chéri !
C : Voilà ma surprise !

Carson posa le boîtier de l’échographie sur son ventre, et le cristal se mit à brillait, tous écarquillèrent les yeux d’étonnement ! Ce qu’ils voyaient, étaient tout bonnement incroyable, Elisabeth en avait les larmes aux yeux, dont une coula sur sa joue, avant d’atterrir sur les lèvres de John qui l’embrassa. Le cristal avait projeté en image virtuelle, leurs deux enfants, bien au chaud dans le ventre de leur mère, ce n’était qu’une image en 3D, mais aux yeux des parents, c’était le plus beau cadeau qu’on pouvait leur faire ! On distinguait précisément le moindre détail des futurs bébés, leurs yeux étaient ouverts, l’un bougea comme pour s’étirer après une sieste, pendant que son frère jouait au foot avec ses pieds ! Lorsque John et Elisabeth posèrent leurs mains sur ce ventre, le plus petit des jumeaux leva son bras comme pour toucher ses parents !

E en larmes : Carson s’est … c’est si… je n’ai plus de mots pour qualifier ce que je ressens !
J : Moi, j’en reste sans voix, j’ai encore plus envie de les prendre dans mes bras !
C : En tous cas, ils sont en pleine forme, avez-vous déjà trouvé qui est Marwin et Maiwen ?
E : Le plus petit est Maiwen, et le plus grand Marwin !
J : Et si ça n’a pas changé, Marwin naîtra le premier !
C : C’est même certain, le plus costaux des jumeaux sort le premier ! Teyla c’est à votre tour !
T émue : J’ai hâte de la voir !
Ro : Moi aussi, je suis sur qu’elle sera aussi belle que toi !
T : J’espère bien, mais les garçons ne vont pas arrêter de la regarder ?!
Ro : Ils auront à faire à moi d’abord !
C rigolant : Je les plains ! Alors voyons cette petite fille !

Il se produisit la même chose, que pour les sheppard, mais cette fois ci on ne vit qu’un seul enfant, de petite taille, dormant tranquillement en position fœtale ! Ronon commença à parler à John, qui avait fait remarquer qu’elle avait la même forme de visage que lui, l’enfant ouvrit les yeux, et bougea en donnant des petits coups de poing. Teyla les ressentait, mais de la voir évoluer devant ses yeux, la laissa sans réaction, elle fit le même geste que son amie en posant sa main sur son ventre, la petite fille fit un magnifique sourire, qui fit fondre en larmes la pauvre Teyla ! Ronon la serra dans ses bras, en lui déposant de nombreux baisers dans le coup, pour la réconforter.

C : Faut pas vous mettre dans des états pareil, dans un mois au pire, vous les tiendrez dans vos bras ! J’ai un peu peur de votre réaction maintenant !
T : Désoler Carson, je ne sais pas ce qui me prend, mais c’est si beau de la voir comme ça ! La première échographie était déjà si merveilleux, mais là on la voit bouger en couleur et devant nous que je ne trouve pas de mots !
C : Les hormones ! Mais c’est naturel de ressentir ça, croyait moi, qui aurait imaginer une tel netteté d’image, moi-même j’ai le souffle coupé, il faudra qu’on remercie Zohra !
E : Ca c’est même certain, mais qu’est ce qu’on peut faire ?
J : J’ai peut être une idée ! Leur offrir un appareil photo, je sais, c’est assez primitif par rapport à leur magie, mais ça pourrait leur plaire !
C : C’est une excellente idée John ! Zohra a vu une des photos que je garde avec moi, et elle m’a demandé comment j’avais fait ?!
E : D’accord, on va en demander au Sgc, bon je vais laisser, je retourne sauver le major Lornes !
T : A plus tard !

Trois jours s’étaient écoulés et le départ de Daniel et Vala se ressentait au sein de la nouvelle petite famille ! Le sergent composa les symboles pour la terre !

S : C’est bon Madame !
E : Merci Sergent ! Vous allez nous manquez tous les deux !
V : Vous aussi, je me suis senti enfin chez moi, avec vous !
J : La citée à cet effet là !
D : On essayera de venir avec le reste de SG1 ! Oh j’ai oublié de vous dire, Sam et Jack vont surment vouloir venir aussi, et puis ils ont hâte de vous présenter leur fille !
V : Il va y en avoir du bruit au Sgc, maintenant, avec deux minis moi, on va bien rigoler !
D : Vala !! J’espère au moins qu’il y en ai une avec mon caractère ! Je pense à Dana, elle est la moins turbulente !
V : Peut être, mais elles ont toutes les deux héritées de ma beauté !
D levant les yeux au ciel : J’espère bien !

Ils passèrent la porte, avec leur jumelle, et la porte se referma ! Un silence se fit pesant dans la salle de contrôle, mais très vite le bruit revient au galop. Elisabeth s’enferma dans son bureau, sous quelques dossiers qu’elle devait finir, John était partit s’entraîner avec Ronon, Teyla ne sachant pas quoi faire, partit aider Elisabeth, Rodnay avait pris sa journée, pour profiter d’un moment seul ave Yoko ! Il était bien décidé à la demander en mariage, mais est ce qu’elle dirait oui ? Allez t’il se prendre une baffe monumentale ? Il ne devait pas bégayer ça c’est sur, mais allez t’il avoir le courage de se déclarer ? Ils étaient tous les deux, au bord de l’océan, chacun assis l’un à côté de l’autre, son bras autour de sa taille, lui caressa le ventre !

Y : Rodnay, quelque chose ne va pas ?
R : Nnnoonn, euh je je … enfin je …
Y faisant face : Rodnay ?!
R : Je ne peux rien te cacher ?!
Y : C’est parce que j’ai appris à te connaître, comme personne !
R : Voilà ! J’ai quelque chose à te demander, mais j’ai peur en fait de le dire aussi ?
Y rire : Je te fais peur !
R : Veux tu m’épouser ?
Y : Quuooii…je…euh… !
R : Laisse tomber, j’aurais jamais du te le demander comme ça !
Y : Oui !
R : Je ne suis … Quoi ?
Y : J’ai dis oui !
R : Je rêve, c’est ça je suis entrain de rêver que je t’ai demander de m’épouser, tu dis oui, et la le réveil va sonner, on sera ensemble pour mon plus grand plaisir, mais je ne t’aurai pas fait ma demande, je vais encore y réfléchir ! Sonne, réveil je t’ordonne de sonner maintenant !
Y : Rodnay calme toi ! Tu n’es pas entrain de rêver, j’accepte ta demande !
R se pinçant : Aï, je rêve pas t’as dis oui, oui le oui !

Il s’approcha d’elle, la porta dans ses bras la faisant tournoyer, puis il embrassa de bonheur, des larmes coulèrent sur ses joues, Yoko les sentit, et resserra son étreinte ! Ils restèrent ainsi jusqu’à la fin de la journée, avant de rejoindre leurs amis au mess, pour leur annoncer la nouvelle !
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:52

E : Veux tu encore de la salade Olaria ?
O : Oui !
J : Elle est bien comme Rodnay !
R : Et j’en suis fier !
T : Vous voilà ! On se demandait si vous alliez nous rejoindre ?
Y : On a une grande nouvelle à vous annoncer !
R : Je lui ai demandé de m’épouser et elle a dit oui !

Olaria, sauta dans les bras de sa nouvelle maman, John s’étouffa avec un morceau de pain, Ronon le félicita ainsi que Teyla, Elisabeth tapota le dos de John pour l’aider à reprendre son souffle en félicitant son ami !

R : Je ne pensai pas que tu réagirais ainsi John ?
J toussant : Désoler j’ai seulement était surpris !
R : Plus que surpris apparemment ?
J : Je suis ravie pour toi, Rodnay sincèrement, c’est génial, mais tu aurais pu nous le dire autrement !
E : John, comment voulais tu qu’il te le dises ?
J : Laisse tomber, j’ai rien dit !
E : Je préfère ça !
R : Pas de moqueries, pas de phrases méchantes, Elisabeth tu nous l’as changé ?!
T : C’est vrai que depuis un bon moment, vous, vous n’êtes pas disputé ? Je veux dire, une dispute comme vous aviez l’habitude de faire !
Ro : Teyla à raison, même pendant les dernières missions, il n’y en a eu aucune !
E : Ne l’encourageait pas ! Bon ce n’est pas qu’il se fait tard, mais je suis assez fatiguée, donc je vais allez me coucher, trop d’émotion dans la même journée !
T : Moi de même, Ronon tu viens ou tu veux rester un petit peu ?
Ro : Non je viens avec toi ! Demain on a prévu un bon footing avec John, ne sois pas en retard demain !
J : J’y suis vraiment obligé ? Au lieu de 8h, on peut se rejoindre à 9h ?
Ro : Ok, pour cette fois, mais je te préviens pour le prochain on se lèverai une heure plus tôt !
J : Ok je suis d’accord !

John suivit Elisabeth, Teyla et Ronon gagnèrent leur quartier, laissant ainsi la nouvelle future famille au mess ! Pendant les jours qui suivirent, tous préparèrent le mariage, mais il fut enfin prêt que trois semaines après la demande de Rodnay ! C’est ainsi qu’en ce jour du mois d’août, le 2 août exactement, Rodnay, aidé de Carson et de John, essayait en vain de s’habillait !

J : Rodnay, du calme, tu es trop nerveux !
R : Oui, ben peut être, mais j’ai une bonne raison d’être énervé !
C : Rodnay, tu vas épouser la femme que tu aimes, pourquoi serais tu nerveux !
R : Je ne peux pas y aller, je suis ridicule, comment j’ai pu faire ça !? Ok, je sais ce qu’il me reste à faire ! John, on prend un jumper et on s’en va !
J : Non, mais ça va pas la tête, si c’est pour me faire tuer par Elisabeth après, décoller tout seul !
R : John je t’en pris, je ne peux pas y aller, je vais me rendre ridicule !
J : Mais non, tu es très bien, de plus tu ne vas faire faux bon à Yoko, elle doit être prête et doit surment attendre le moment comme toi ! Et je suis sur qu’elle est encore plus stresser que toi !
C : John à raison, si tu l’aimes vraiment tu ne lui feras jamais l’affront de la planter devant l’autel !
R : Vous avez raison, mais je suis mort de trouille !
J : Je suis sur que moi, je serais dans le même état que toi !
R : En parlant de ça, quand feras tu ta demande ?
J : Après l’accouchement, lorsque je pourrais l’emmener sur une des plages !
C : Je ne te connaissais pas aussi romantique John !

Dans les quartiers de la leader, régnait la même ambiance, Elisabeth et Teyla l’aidèrent à mettre la dernière touche à sa magnifique robe de mariée ! Celle-ci était fait d’un tissu blanc très léger, le bustier tout en dentelles était sans manche, laissant ainsi le dos nu de la jeune femme. Un long collier de perle, venu des profondeurs de l’océan, cadeau de la reine Zohra, partant du cou, descendait en rideaux derrière, illuminant ainsi son dos.

Y : Je suis telment nerveuse, que mes mains en tremble !
E : Tout va bien se passer !
T : Les garçons sont prêts, ils nous attendent !

Elisabeth et Teyla, marchèrent les premières étant les demoiselles d’honneur, puis se fut autour de Yoko. Lorsque Rodnay la vit, toute sa nervosité disparu, les gens venu assister à son mariage disparurent aussi, ne laissant qu’à ses yeux l’image de cette femme, qui l’aimait de tout son cœur. Il se dit à lui-même, que pour une fois, il donnerait sa vie pour elle, il mourrait pour elle, s’il fallait qu’ils meurent pour qu’elle vive, il se tuerait volontiers !

X : Mes biens chers frères et sœurs, nous voilà réunit pour unir cet homme et cette femme selon les liens sacrés du mariage ! Si pour une raison ou une autre, quelqu’un s’opposerait à se mariage qu’il le dise où se taise à jamais !

Ronon se tourna vers Cadwell, qui se fit tout petit sur son siège ! Mais à se moment, Elisabeth serra fort la main de John, en un regard il comprit qu’elle venait d’avoir une contraction !

E tout bas : Attendons le Oui mutuel, et après on les prévient, ce n’est que la première !
J tout bas : Tu en es sur !
E bas : Oui !
J bas : Ok mais je préviens Carson ! Carson !?
C bas : Quoi ?!
J : Elisabeth vient d’avoir sa première contraction, mais elle veut rester jusqu’au vœux !
C : QUOI ?! Non mais elle ne va pas bien !
J : S’il te plaît, elle ne veut pas gâcher cette journée !
C : Très bien, mais dés que les vœux sont fait on va à l’infirmerie !
J : Promis ! C’est bon il est d’accord ! Mais le prêtre devrait se dépêcher quant même !
E : John !!

Le prêtre commença alors un discours sur les différents liens qui unissent deux êtres, Elisabeth serra très fort la main de John, d’une pour la seconde contraction et de deux pour l’empêcher de dire au prêtre de faire vite et de se fait gâcher la journée de Rodnay ! Mais contre toute attente, il ne fit rien, Carson s’en chargea à sa place, son instinct de médecins avait prit le dessus sur celui d’amie, et s’était donc levé coupant la parole au pauvre prêtre !

C : Je voudrais dire pardon aux mariés, mais monsieur le prêtre si vous pourriez passer aux vœux maintenant, car Elisabeth vient d’avoir sa seconde contraction et tête de mule comme elle est, veut attendre la fin des vœux, donc je voudrais qu’on avance le plus vite possible !
R : Elisabeth, ne te mets pas en danger, pour nous !
E : Carson !! Je te jure que je peux tenir !
R : Mais moi je ne veux pas avoir sur la conscience le moindre problème qui concerne vos jumeaux !
J : Bon au lieu de parle continuer et on pourra y aller !
E : Merci John !

X : Rodnay Mc Kay voulez vous prendre pour épouse Yoko Soma, promettez vous de la chérir, de la protéger et de l’aimer jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
R : Oui, je le veux !
X : Yoko Soma voulez vous prendre pour époux Rodnay Mac Kay, promettez vous de le chérir, de le protéger et de l’aimer jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
Y : Oui, je le veux !
X : Par les pouvoirs qui me sont conféré, je vous déclare mari et femme, vous pouvez embrasser la mariée !

Rodnay embrassa sa femme, Olaria couru pour se jeter dans les bras de son père, Elisabeth se leva avec l’aide de son homme, pour aller féliciter son ami !

R : Elisabeth va à l’infirmerie ?!
C : Rodnay a raison, venez !
E : C’est bon Carson, je viens ! John tu peux m’aider s’il te plaît ?
J : Je vais faire mieux que ça, je vais te porter jusqu’à ton lit !
Y : Allez y on vous garde le champagne !
E : Merci Yoko !

John porta sa femme, qui était tout à fait calme et sereine à l’infirmerie, Carson arriva avec une infirmière, et tout le matériel qu’il lui fallait ! Cela faisait maintenant 15 min depuis la seconde contraction, et elle venait d’en avoir une autre, les douleurs se faisaient de plus en plus fortes et longues !

E : La vache, je ne pensais pas que ça ferait aussi mal ?!
J : Attend je connais un truc qui va te faire du bien !

Il passa sa main derrière son dos au niveau des reins, et lui massa cette partit, elle ferma les yeux car la douleur disparu !

E : Comment as-tu su ?
J : Une amie sur terre, à accoucher alors que son mari était encore mission, alors j’ai suivi avec elle les cours des futures mamans ! Soit dit en passant très ennuyeux, mais je suis content que ça serve à la femme la plus merveilleuse que j’ai pu connaître !
E : Tu parles, j’ai l’air d’une baleine sur le point d’exploser !
J : Non, tu es sur le point d’accoucher, on va avoir deux magnifiques garçons qui j’espère auront tes magnifiques yeux !
Pendant ce temps là dans la salle de contrôle, la porte s’était activée, pour laisser passer l’équipe SG1 au complet, pour passer la fin de la journée avec eux, ils étaient invités au mariage, mais n’avaient pas pu venir avant ! Les oris avaient encore fait des leurs sur une planète, et SG1 étaient partit les aider !

S : Félicitation Rodnay !
R : Merci, Sam ! Alors comment va votre fille ?
S : Elle va bien, elle pleure beaucoup lorsque Jack n’est pas là, mais c’est un amour !
D : Où est Elisabeth ?
T : À l’infirmerie, durant la cérémonie, elle a eut ses premières contractions !
Ja : Oh, je sens qu’il y en a un qui doit être presser d’être père !
Ro : Même pas, c’est Carson qui était le plus paniqué !
V : Avec moi il ne l’a pas était ?
R : Elisabeth a voulu rester jusqu’à la fin de la cérémonie, contre l’avis de Carson !
Y : Rodnay ? Le repas va être servi et le cuistot te demande ?
R : J’arrive !

A l’infirmerie, le travail avait beaucoup avancé, les contractions s’étaient enchaînées et Elisabeth était sur le point de voir son premier fils !

J : Pousse, pousse fort !
E : Je n’ y arrive paaaaaaaaaaaaasssssssss !
C : Elisabeth, c’est la dernière, encore une et il sera là !
E : Aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh !!!!
Mr : Ouin, ouin, ouin, ouin !
C : Voilà il est là ! Repose toi avant le prochain, on va le nettoyer et faire les examens avant de te le donner, et le prénom du petit !
E : Marwin ! John je ne sais pas si je vais y arriver pour Maiwen ?
J : Mais si, tu verras et puis je suis là, tu as le droit d’écraser ma main, mon bras, me prendre par le col et me mettre un pin !
E rigola : Tu es incorrigible !
C : Alors je vous présente votre petit Marwin, 56 cm, 3kg1, et en parfaite santé !

Le médecin déposa le nouveau né dans les bras de sa mère, dont les yeux remplis de larmes, de joie, regardèrent cette petite chose toute fragile !

E : Bonjour mon chéri, alors te voilà enfin ! John regarde !
J : Il est magnifique, c’est le plus beau bébé de la galaxie, en tout cas je suis très fier de moi !
E : John prend le !!!!
J prenant l’enfant : Elisabeth !!
E : Ouuouououououooffffff !!
J : Carson !!!!
C : Elisabeth respire, respire, calmement !
E en pleur : Ca fait mal !!
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:52

Une infirmière, vint prendre Marwin des bras de John, pour qu’il aille au prés de sa femme !

J : Carson ?
C sourit : Oh je vois ! On ne pourra pas dire que ce ne sont pas vos fils !
E : Pourquoi, il y a un problèèèèèèèèèèmmmmmmmmmeeeeeee !!!!
C : Votre second fils a décidé de venir les fesses la première !
E respirant difficilement : Il pouvait pas venir comme tous les bébé du monde !!
J : C’est un sheppard chérie, dans ma famille on n’est jamais venu au monde normalement !
E : Et tu me dis ça maintenaaaaaaaaaannnnnnnnnnttttttttttt !!
J : Désoler !
C : Elisabeth, je vais te demander de pousser un peu plus fort et plus longtemps, tu veux bien essayer ?
E : Je vais essayer !

Teyla voulait savoir comment ça se passait pour son amie, Ronon l’accompagnait comme un chien de garde, mais à un mètre du lieu, elle s’arrêta net ! Les cris d’Elisabeth parvenaient à ses oreilles !

Ro : Ca ne va pas ?
T : J’ai peur que mon accouchement se passe mal !
Ro : Je suis sur que tout va bien se passer, et puis je serais à tes côtés !
T apercevant une infirmière : Excusez moi ? Comment ça se passe ?
X : Le premier est né rapidement, en parfaite santé, mais le deuxième a décidé de venir en montrant ses fesses en premier ! Mais votre amie se débrouille très bien !
T : Merci ! On rejoint les autres, pour leur annoncer !?
Ro : comme tu veux !

Ils repartirent tout les deux, Teyla ne le montrait pas, mais le fait de savoir que bientôt elle devra accoucher cela lui faisait peur ! Le petit Maiwen arriva pour le plus grand bonheur d’Elisabeth, qui épuisé ferma les yeux un instant, et reprendre ainsi une respiration normal !

C : Voilà Marwin, 3kg2, 58 cm il est plus grand que son frère, mais tout comme lui, il est en parfaite santé !

Les deux jumeaux furent apportés à leurs parents, qui restèrent là, à les contempler, John embrassa sa femme et lui donna ses fils ! Il prit un appareil et pris en photos cette image qu’il voulait graver à jamais dans sa mémoire ! Carson lui prit ensuite l’appareil, pour qu’il puisse se mettre derrière Elisabeth et ainsi avoir une photo de la petite famille au complet ! Puis il sortit rejoindre la fête, pour annoncer la nouvelle, et s’offrir un moment calme et de détente !

D : Carson !
C : Daniel ! Comment va tu ?
D : C’est plutôt à moi de te demander ça ? Tu viens de passer des heures avec Elisabeth et John, alors ?
C : Je vais parfaitement bien, je me détends maintenant, et puis les heureux parents avaient besoin de rester seuls !
D : Jack et Sam sont partis les féliciter !
C : Et vous alors, Vala et les jumelles, tout se passe bien sur terre ?
D : Oui, très bien, c’est beaucoup de travail, on dort très peu, mais on échangerait nos vies pour rien !
C : Je veux bien te croire !
D : Il ne reste plus que Teyla, et si je me souviens bien, elle en ait au même point qu’Elisabeth ?
C : Je lui demande juste d’attendre un, ou deux jours, le temps que je me repose !
T : Ne t’inquiète pas, je crois que ma fille n’est pas décidé à sortir !
Ro : Ce n’est pas dangereux au moins, n’est ce pas Carson ?
C : Non, mais si elle entame son dixième, on déclanchera l’accouchement, se sera plus prudent ! Excusez moi, mais je vais inviter Laura à danser avant qu’un de ses militaires ne mettent ses pattes dessus !

La soirée, se termina très tard, les jeunes mariés partirent en voyage de noce, sur terre au Japon, pour que Yoko puisse présenter son mari à sa famille ! Olaria partait avec eux, sautant de joie à l’idée de voir la planète terre, mais aussi car elle sera la première Athosienne à venir sur la planète bleue ! La nouvelle petite famille serait absente pendant trois semaines, et pendant se lapse de temps, la cité vécu pas mal d’aventure ! Lors de la première semaine, la cité fut réveillée chaque nuit par des pleurs de bébé, qui empêchèrent les nouveaux parents de dormir, John essayait de s’occuper des jumeaux le plus possible, ainsi que pendant la nuit, pour laisser Elisabeth se reposer le plus possible ! C’est ainsi qu’un matin, elle se réveilla fatiguée mais heureuse, le tableau qui s’offrait devant elle, lui redonnait de l’énergie, pour affronter la journée ! John était assis dans la chaise longue que le Général Oneill leur avait offerte pour la naissance des jumeaux, endormit profondément avec le porte-bébé des athosiens, un autre cadeau, autour du cou, ainsi que ses deux fils bien u chaud dans une couverture, à l’intérieur de celui-ci. Elisabeth, pensa tout de suite à prendre une photo, le soleil venait à peine de se lever, laissant passer à travers les volets de faibles rayons , illuminant ainsi ses trois hommes ! Elle resta ainsi, pendant plusieurs minutes à les observer, pensa qu’il était peut être temps de voir sa mère et de lui présenter ainsi ses petits fils et l’homme de sa vie, qui avait su être là pour les moments difficiles mais aussi les moments de joies ! Marwin commença à bouger et à pleurer, réclamant ainsi le lait maternel de sa mère. Elisabeth le prit dans ses bras et s’installa sur le lit, et donna le sein à son fils, c’était une sensation bizarre, mais pour rien au monde elle échangerait sa vie, voir ce petit être si fragile à la peau si douce, prenant son petit déjeuner, la fit sourire ! John se réveilla tout doucement, il avait passé la nuit à bercer les jumeaux, qui ne dormait que lorsqu’ils étaient bercés.

J : Bonjour mon cœur, as-tu faim toi aussi ?

Il se leva et vint se poser à côté d’Elisabeth, échangeant leurs fils !

E : Tu as bien dormi ? Tu devrais te reposer aujourd’hui ?
J : Pas trop mal et toi ?
E : Bien, grâce à toi ! Tu n’as pas répondu à ma question ?
J : Tu en as plus besoin que moi !
E : John, tu as besoin de dormir aussi, alors aujourd’hui tu me les laisses et tu te reposes ! De toute façon je passe la journée avec Teyla et Carson, alors profite s’en pour dormir !
J : Très bien, mais toi aussi tu as besoin d’une nuit entière !?
E : John, je voudrais savoir, si, on peut aller sur terre ?! Je voudrais voir ma mère et vous présenter tous les trois !
J : Pourquoi pas, cela nous fera une sorte de vacance ! Elle va le prendre comment d’après toi ?
E : Bien ne t’inquiète pas ? Et toi as-tu de la famille ?

John resta figeait un instant, c’est vrai qu’il n’en avait réellement jamais parler, mais personnes ne l’attendait sur terre, il était temps de le dire !

J : Non ! Je j’ai plus de famille sur terre, mais j’en ai une ici, avec toi et nos fils !
E : Eh ben maintenant tu en as une aussi sur terre, la mienne !
J : quand veux tu qu’on y aille ?
E : Le dédale arrive la semaine prochaine, on peut partir avec lui !
J : D’accord !

A l’infirmerie, Teyla et Ronon, attendaient Carson, la jeune femme entamait son dixième moi de grossesse, et n’avait toujours pas ressentit la moindre contraction et s’inquiéta. Carson lui avait demandé de venir faire une échographie pour la rassurer, car même s’il lui avait dit que certains enfants avaient besoins de plus de temps pour venir au monde et qu’un dixième mois n’était pas dangereux si, il était suivi correctement !

C : Tout va bien, tu vois Teyla, elle va très bien ! Mais si d’ici la fin de la semaine, tu n’as toujours pas eut de contraction, on déclenchera l’accouchement !
T : Tu es sur que ce n’est pas dangereux ?
C : Non, je te le promets ! Mais tu peux faire de longue promenade, cela peut aider à déclencher le travail !
Ro : C’est vrai ?!
C : Oui, mais elle ne doit pas les faire seules !
Ro : Je vais la suivre comme son ombre !
T : C’est ce que tu fais déjà, je te signal !
Ro : Cela t’énerve de m’avoir tout le temps sur le dos ?
T : Non, cela me rassure de t’avoir à mes côtés !

Carson partit voir d’autre patient, laissant le jeune couple ensemble, Teyla était vraiment paniqué et elle appréciait la présence du runner. Il était vraiment adorable, aux petits soins avec elle, satisfaisant le moindre désir ! Sur les conseils du médecin, Teyla partit marcher avec Ronon, au bout d’une quinzaine de minutes, elle s’arrêta, attrapant ainsi le bras de Ronon !

Ro : Ca ne va pas ?
T : Je crois que je viens d’avoir une contraction !!
Ro : Tu en ai sur !!
T : Je crois ? Je n’en suis pas sur !
Ro : Je te ramène chez Carson !
T : Je crois que ça sera le contraire !

Elle s’adossa au mur et descendit pour s’asseoir, genoux pliés et légèrement écartés, sa respiration se fit de plus en plus rapide, et de la sueur commençait à perler sur son front ! Ronon resta prés d’elle et appela Carson de toute urgence, celui-ci arriva et emmena la jeune maman à l’infirmerie, le plus rapidement possible ! Leurs amis étaient tous présents, attendant dehors, la nouvelle petite atlante ! A l’intérieur, Teyla souffrait énormément, respirant difficilement transpirant beaucoup, Carson et Ronon l’encourageaient du mieux qu’ils pouvaient, mais peine perdu !

C : Infirmière, préparer la salle d’opération, pour une césarienne !!
Ro : Carson ?!
C : Désoler Ronon, mais tu ne vas pas pouvoir venir avec nous, je vais te demander de sortir !
Ro : …….
C : Ronon s’il te plaît, Teyla est trop faible, il va falloir que je sorte votre fille, alors attendait dehors !
Ro : très bien !

Le runner sortit rejoindre ses amis, sans un mot, tous comprirent que l’accouchement était difficile et qu’elle était partit en salle d’opération ! Les minutes qui suivirent furent les plus dur pour Ronon, il avait réussit à se faire une famille, trouvait la femme qui lui avait rendu sa joie de vivre ! Elle risquait en ce moment même sa propre vie, pour donner naissance à leur fille, cet enfant que Teyla voulu garder, alors qu’ils n’avaient pas passer leur première nuit ensemble, garder parce que c’était lui le père et non un autre ! Elle lui avait fait la confidence, un soir que si cet enfant n’avait pas était de lui, elle ne l’aurait pas gardé, et lui avait heureux qu’elle le garde, et qu’elle accepte de le laisser faire son rôle de père ! Il est vrai que lorsqu’elles avaient appris leur grossesse, les deux jeunes femmes s’étaient demandées comment réagir face à leurs enfants, le jour où ils demanderont pourquoi leur père ne vit pas avec eux ! Ronon, fit sa déclaration, un soir alors qu’ils étaient sur le continent afin d’annoncer la nouvelle à son peuple, elle lui avait considérablement sauter dans les bras, quant à John, il lui avait fait la sienne sur leur balcon, le jour où il lui avait ramener la couverture, c'est-à-dire le jour où elles avaient su pour les bébés !
Après plus d’une heure, Carson sortit de l’infirmerie, avec la petite Gaia dans les bras, Ronon crut que son cœur allait s’arrêter, il pensa tout de suite que Teyla n’avait pas survécut ! Carson remarqua le visage décomposé du runner et le rassura tout de suite !

C : Teyla dors, Ronon je te présente la petite Gaia !

Le runner prit l’enfant dans ses bras, elle paraissait si fragile et forte à la fois, mais elle serra sa toute petite main autour de son doigt, une larme se dessina sur la joue de Ronon !

Ro : Quand puis je voir Teyla ?!
C : Vous pouvez rester avec elle des maintenant, comme ça elle verra sa fille au réveil ! Elle n’a pas eu le temps de la voir en première !
Ro : Merci Carson !

Ronon entra et se dirigea vers le lit de sa compagne, Teyla dormait paisiblement, à ce moment il la trouva telment belle ! Il déposa sa fille dans son berceau, et se embrassa sa femme sur le front, elle ne se réveilla même pas, devinant qu’elle avait vraiment dû souffrir. Fatigué lui aussi, il s’endormit, en regardant sa fille, qui comme sa mère dormait paisiblement. Teyla se réveilla trois heures après, elle se releva en sursaut cherchant sa fille !

C : Doucement Teyla !
T : Carson, Gaia ou est elle ?
C : Calme toi, elle est à ta gauche, avec son papa qui la surveille !

Teyla regarda à gauche et fut émue, Gaia était déjà réveillé et comme tous les bébés joue avec la première chose qui lui vient sous la main, c'est-à-dire une mèche de cheveux de son papa !

T : Puis je la prendre Carson ?
Revenir en haut Aller en bas
valasan




Nombre de messages : 19
Age : 40
Date d'inscription : 18/02/2007

des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées EmptyDim 18 Fév - 21:53

C : Bien sur, je vais essayer de ne pas réveiller Ronon, car il a besoin de dormir ! Il t’a veillé jusqu’à ce que le sommeil frappe à sa porte !
T prenant le bébé : Elle est magnifique ! Elle va bien ?
C : En parfaite santé, tout comme sa mère !
T : Bonjour ma chérie !

Le bébé ouvrit ses grands yeux, les mêmes que Ronon, et souris à sa mère ! Ronon se réveilla et sursauta lorsqu’il ne sentit pas sa fille dans le berceau, il se retourna et vit Teyla donnant le sein, le visage radieux. Il s’approcha et déposa un baiser sur le front de celle-ci et caressa le visage tout rond de sa fille, aussitôt la petite attrapa le doigt de son père !

T : Elle est vraiment magnifique, elle a tes yeux !
Ro : Mais elle sera aussi jolie que toi, il va falloir que je me méfie des garçon à l’avenir, surtout ceux de John !
T riant : Je suis sur qu’ils vont se tenir tranquille !

Teyla remonta sa chemise et garda l’enfant dans ses bras !

R : Alors comment vont les heureux parents ?
T : Très bien Rodnay, merci !
R : Elisabeth et John ne peuvent pas venir, les jumeaux sont intenables, Carson est allé les voir !
Ro : A se point là !
R : C’est surtout pour rassurer les parents, ils sont fatigués et dans la journée il y a toujours quelques choses pour les empêcher de dormir au moins trois heures d’affilées !
T : J’ai appris qu’ils allaient sur terre pour quelques semaines ?
R : Oui, Elisabeth voudrait présenter ses petits monstres à sa mère, ainsi que John !
T : Espérant qu’ils puissent dormir un peu là bas !
Ro : C’est vrai qu’ils en ont besoin, c’est la première fois que je vais dire que John ait besoin de dormir !
T : Je suis d’accord, c’est une vraie marmotte, il ne doit pas vraiment apprécier !?
R : C’est tout le contraire, d’après ce que m’a dit Elisabeth, il fait presque tout, pour qu’elle puisse dormir ! Je vais vous laisser j’ai encore pas mal de boulot à finir.
T&Ro : Au revoir Rodnay !

Une semaine passa et le Dédale arriva, pour emmener Elisabeth et John sur terre, ainsi que plusieurs rapports habituels !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





des vies bouleversées Empty
MessageSujet: Re: des vies bouleversées   des vies bouleversées Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
des vies bouleversées
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Elizabeth & John :: ShipperS ShWeir !! :: Fanfictions :: Les fanfictions-
Sauter vers: